Je n'en venais quelle venait de me répondre: « Tu déconnes ou quoi ? Moi j’dis que la St-Valentin elle sert à rien. » Elle n'avait pas du tout compris le sarcasme. C'était compréhensible, les deux verres qu'elle avait bue ne semblait pas les premier. Puis, elle finit par ajouter: « Si tu veux mon avis, rien de mieux que le sexe pour prouver son amour ». Ces mots me firent sourire, c'est alors que je lui répondit avant de boire le troisième verre quelle me servait:

-Si tu veux le mien, rien de mieux que le sexe point. L'amour ça n'existe pas.

Je sentais l’alcool commencer à entrer dans mon sang. Je me sentais plus confiant.. Tout les autre me semblait plus petit et j'avais l'impression de pouvoir faire n'importe quoi et que rien ni personne ne pouvais m'en empêcher. Cependant ce n'était qu'un début, je savais je devais prendre d'autres verres pour que ce sentiment que j'adore s'intensifie. J'était suffisamment atteint pour lui dire:

-Et en passant, tout à l'heure, j'étais sarcastique, mais qu'est-ce qu'une humaine aurais pu y comprendre.

Je n'avais pas lancé ça pour vrai. *J'espère quelle n'y verra que du feu.* Après tout dans l'état ou elle était rendu il était fort probable quelle ne s'en aperçoive pas.

Elle me fit rire quand elle me dit:« T’es pas trop jeune pour dire ce genre de chose toi ? ». Elle pensant que j'avais quel âge? Au moins elle ne semblait pas avoir remarque ce que j'avais dit. Je prit le verre qu'elle m'avait resservi. Je ne devais pas le boire cul-sec celui-là, si je ne voulais pas tomber saoul mort en une heure. Je me sentais bien, j'avais enfin oublier à quel point la décoration était immonde. J'avais même oublier tout ces couples autours de moi qui semblait s'aimer, mais que dès le lendemain pendant une journée normale ils verrait à nouveaux leurs problèmes. Lexi ajouta:« Tu sais des fois l’amour est… magique »

Sans m'en apercevoir j'avais aussitôt répliqué.

-Ce qu'il y a de plus magique sont les façon de la créer... et de la détruire.

Sur c'est mots je pris mon verre et le finis d'un trait. Ce n'était pas possible, qu'est-ce que j'avais encore dit... En plus, quand j'y repense la façon dont elle avait dit «magique» semblait remplis de sous-entendus. Puis, sur un ton un peu mal alaise je me suis empresse de dire:

-Mais ici nous parlons bien de magie au sens figuré...?

Je ne savais pas si la dernière chose que j'avais dit était encore une erreur. Elle me fixait maintenant d'une dorle de façon j'était un peu pris au dépourvu. J’étais plus habitué à fixé les gens qu'à me faire fixer. Elle me tendit un autre verre, ce qui me fit remarquer que la bouteille était presque vide. *J'ai bien fait de venir finalement.* Je me sentais bien, ce n'était plus le petit sentiment de plus, c'était maintenant celui désiré. Elle répondit finalement `^a ma question: « A toi de me le dire ».

Ça réponse avait beau être une question, réellement c'était plus que cela. C'était un appel à la vérité. Je sentais que peu importe ma réponse, elle était prête à l'entendre. Mes pensés était de plus en plus confuse, je ne savais pas trop quoi répondre. *Bon je peux tout lui dire, après tout je me suis déjà assez échappé et s'il y a un problème je trouverai un façon de la faire taire. Ou peut-être me prendra-t'elle pour un fou.* J'avais, donc dit d'un air moquer:

-Au sens propre bien sur, je pratique la magie et je suis un grand sorcier.

J'eu un petit rire, comme si je me moquais d'elle et je lui fit un clin d'oeil. Peu être qu'avec cette manœuvre je m'étais sortie de la situation embarrassante dans laquelle je M,étais placé.

Elle sorti une deuxième bouteille et s'en servi un verre. C'était de la vodka, ce n'est pas vraiment dans mes goût la vodka. En plus, je commençait à être un peu bourré, c'était maintenant temps de passer à la bière. Je sais les gens déconseille de mélanger le fort avec l'alcool, mais je suis jeune et mon système est fort, donc je devrais être capable de supporter. J'allais lui en demander un quand elle me dit: « Sérieusement Shawn. T’es un… fin tu vois… un… sorcier ? ». Je n'en revenais pas, après Malin voila une deuxième personne qui me déclarait quelque chose du genre aussi radicalement. *Ou est-ce que j'ai passé c'est 19 dernières années si le monde dans cette ville parle tous de se sujet comme si c'était normale.* C'est alors qu'elle ajouta: « Parce que tu sais je m’en fou. Je connais pleins de sorciers tu sais ».

À ce moment deux fils se touchèrent dans mon cerveau et ça faisait des étincelles. La phrase «je connais pleins de sorciers tu sais» me repassait sans cesse en tête. *Si elle connait plein de sorciers, peut-être peut-elle m'aider à trouver les membres de mon cercle. Après tout elle est barmaid, elle doit en voir passer beaucoup de monde.*

-Oui c'est vrai... mais comment connais-tu l'existence des sorciers?Ah! et j'allais oublier, une bière blonde s'il te plait... la meilleure que tu as. Peux tu me parler aussi du fait que tu connaisses plein de sorciers, ça pourrais m'intéresser.

Lexi eu à peine le temps de me dire:« Bah en fait… » quand un homme vint s’asseoir à côté de moi. Aussitôt, je m'aperçu que c'était un sorcier. C'est dingue, il fallait qu'on parle de sorcier et tout d'un coup il y en a un qui arrive. Puis il dit à Lexi: « Je suppose bien que vous n'avez pas d'absinthe dans votre cargaison ? Non, se serait bien trop beau. Bon et bien, vous seriez bien aimable de me servir... De la vodka.. Et bien, pourquoi pas.. » Je le regardait avec froideur, je ne savait pas trop quoi lui dire. C'est vrai les dernière personnes qui m'avaient parler de sorcier l'avait fait sans la moindre retenu. Peut-être fallait-il que je ne m'en préoccupe pas.

Puis, sans prévenir Lexi sortie de derrière le bar, sauta au coup de l'inconnu et l'embrassa. La scène était assez perturbante, elle m'avait dit quelle connaissait des sorciers, mais pas quelle sortait avec l'un-deux. À moins que ce n'était pas son petit ami et qu'elle était juste rendu assez saoule pour ce livrer à ce genre de pratique. Je compris qu'ils se connaissait et que je ne m'était peut-être pas trompé quand elle lui dit: « Waouh, pour de la surprise c’est de la surprise ! Attends moi dehors j’ai bientôt fini mon service, tu pourra déballer ton cadeau… »

Ensuite, elle l'embrassa à nouveau et retourna derrière le bar pour leur servir un verre . Elle dit: « Offert par la maison les gars » avant de nous servir. C'était de la vodka, pas la bière qui lui avait demandé, mais un verre de vodka. Bon s'y elle l'offrait je ne pouvais pas le refuser et après tout je n'avais pas à me soucier du goût, j'étais ici pour me saouler. Ce verre n'était cependant pas dégustable il fallait que je le boit cul-sec. Je ne savais pas si ma conversation avec Lexi était terminer à cause de l'arrivé de ce sorcier, mais il fallait que j'ajoute quelque chose. Je ne pouvait tout de même pas rester la, silencieux à me saouler. Les seuls mot que je suis arrivé à dire furent:

-Si vous voulez être seul, je peux vous laisser. Vous semblez avoir des tas de choses à vous dire et je suis sur que je peux trouver de petits coeurs à briser.

Pourtant je n'avais pas envie de les laisser, je voulais en savoir plus sur ce sorcier et aussi sur les tas de sorciers que Lexi connaissait.

Je tendis le verre que je venais de vider à Lexi et rajouta:

-Merci pour le cadeau, mais maintenant une bière s'il te plait.

(Je suis désolé, mais demain (bon je pourrais dire tantôt il est minuit dans 9min) je travail, donc je ne pourrai pas me connecter entre 8 et 16h30, donc entre 14 et 22h30 pour vous si je ne me trompe pas. Encore une fois désolé.)

J'avais un bon moment avec Lexi, avant que le sorcier arrive, mais il avait apporté avec lui une froideur et une noirceur. Normalement c'est moi qui avait cet effet là, mais cette fois je la subissait. Il avait ajouter a mes mots: « C'est sûr que à la Saint Valentin, c'est tellement novateur... » et ensuite: « Il y a certains présents que l'on nous fait que l'on ne peut pas refuser. ». *En voila un que je sent que je vais aimer.*

Il s'était maintenant tourner dans ma direction et me fixait. Il m'observait vraiment, sans aucune retenu. Je me demandais ce qu'il pouvait bien me vouloir. Nous étions deux sorcier et après quoi... dans cet ville cela semblait totalement normale et il semblait hétéro et s'était le copain a Lexi, donc je ne voyais pas qu'elle raison il avait de me fixer de la sorte. Du coin de l'oeil, je vis un sourire ce dessiner sur son visage. Il finit par s'adresser directement à moi.

« Dis-moi, mon garçon, serais-tu à la recherche de quelque chose de spécial ? Quelque chose qui expliquerait le fait que ton énergie rayonne de telle sorte que n'importe qui dans le cas actuel n'aurait aucun mal à deviner qui tu es vraiment »

Avec tout l'alcool que j'avais déjà but mes pensés était confuse et je savais pas trop quoi répondre. Je suis tourné vers lui, maintenant je soutenais son regard. Lexi m'apporta ma bière, je la pris sans le quitter des yeux d'une seconde, comme si c'était une question de vie ou de mort. Je pris une bonne gorgé avant de lui rendre son sourire et de répondre:

-Bon... on vas commencer par laisser de côté les «mon garçon»... tu pourrais être mon frère pas mon père. La seul chose de spéciale que je cherche c'est une bonne cuite et tu est la première personne qui me dit que mon énergie rayonne, donc j'ai aucune idée pourquoi.

J'avais fini mon verre et déjà un autre m'attendait sur le comptoir. Je ne savais pas si je pouvais me permettre de boire encore avec la personne qui me tenait compagnie. J'étais venu ici pour boire et m’amuser avec d'autres personne qui s'avent s’amuser et il semblait savoir s’amuser. J'entrepris ma seconde bière à grande gorgée quand il me dit: « Les apparences peuvent parfois être trompeuses, mon garçon ». Aussitôt, ma bière était déposé et mon regard était glacial. *Il ne veut pas comprendre ou quoi.* J'était vraiment saoul à ce point et mes instinct primitif essayaient de sortir. J'avais envie de lui balancer mon point dans le visage. Ce petit sourire et cette attitude qui ressemblait trop à la mienne quand j'ai mes esprits commençait à m'agacer.

Je repris vaguement conscience et pris une pose décontracté en m'accoudant sur le comptoir. Je me mis à lui rendre son sourire tout en gardant mon regard glacial. Il ajoutât ensuite.

« Il ne faut jamais observer avec nos yeux, ils sont plus que trompeurs pour ce qui s'agit de ce qui nous entourent. Preuve est que tu es beaucoup plus jeune puisque avec le temps, tu finiras certainement par analyser les choses avec plus de bon sens. Comment crois-tu que j'ai su qui tu étais ? »

Pourquoi ne pas faire ce qu'il me disait. Je me mis à me concentré sur lui, mais tout ce qui je voyais c'était un épais nuage noir très dense et très profond, avec l'alcool tout tournait et je ne pouvais rien voir d'autre. Je revins à moi, mais qu'est ce qui c'était passé. Une goûte de sueur me coulais le long de la tempe et je sentais un courant d'air froid me frôler la nuque. Je ne pris pas la peine de répondre à sa question, après tout, il connaissait mieux la réponse que moi. Il finit par dire:

« Maintenant, dis-moi, quel regard portes-tu sur le talent dont nous sommes tous deux pourvus.. »

-Disons que je suis ouvert... très ouvert à tout ces aspects, mais je suis plus alaise avec l'air, le feu et... un autre aspect.

Je mis un accent sur le tout pour lui faire clairement comprendre que ça incluait le côté noir de la magie. Mes pensées étaient vraiment trop confuses pour savoir quoi ajouter, donc je me mis à attendre ce qu'il avait à dire.

Lexi était venu s'interposer dans notre conversation en posant une question sur ce que j'avais dit, mais l'homme lui avait répondu drôlement et elle était parti danser après avoir lancé: « Oublie cette question, j'ai d'autres projets pour nous ce soir... »

Il ne semblait pas s'être préoccupé de Lexi, tout son attention semblait dirigé sur moi. Qu'est-ce que j'avais de particulier, après tout je le sentais, je n'étais pas le seul sorcier dans la place, donc pourquoi moi? Cependant, voyant Lexi se rendre sur la piste de dance, je me suis dit que comme elle n'était plus la pour nous servir je pouvais le faire à sa place. Je me rendis derrière le comptoir et pris une nouvelle bouteille de whisky, c'était du Black Label cette foi. Pendant que je me servais un verre, Beau dit: « Sais-tu ce qui est des plus regrettables concernant notre art ? C'est qu'il y a – et a toujours eu – des hommes assez fous – de vulgaires sots - qui se croyant plus illuminés que la plupart d'entre nous se permettent de nous dicter ce qui est bien et ce qui est mal. Pourtant, si tu veux mon avis, il n'existe ni bien ni mal sur cette terre. Pourtant, si tu veux mon avis, il n'existe ni bien ni mal sur cette terre.». Je ne pu pas m’empêcher de murmurer:

-Comme je dit toujours, la moral n'existe pas il n'y à que le plaisir et la souffrance.

Ce que voulais dire, c'était que si si quelque chose me fait plaisir c'est nécessairement bien, si quelque chose me fait souffrir c'est nécessairement mal et si quelque chose fait souffrir quelqu'un d'autre et me fait plaisir... c'est bien. Voila qu'elle était ma vision des choses. Il finit de dire ce qu'il avait entamé par: «Seulement des plus forts et des plus faibles. Des plus faibles qui se chercheront toujours des excuses. N'es-tu donc pas de mon avis ? Dans ce cas présent, de quel côté de la balance te positionnes-tu ? Des plus faibles ? Ou des plus forts ? »

Ce qu'il me disait commençait à m’amuser, je ne savais pas pourquoi il s’intéressait tant à moi, mais il avait très bien ciblé ma façon de penser et j'aimais ça. Je le fixait droit dans les yeux et à nouveux, ce petit sourire noire se dessina sur mon visage. Ensuite je le laissa patienter quelques seconde avant de lui répondre un simple:

-Devines...

Je vis qu'il avait but sont dernier verre, donc sans le lâcher du regard et remplis sont verre. Je me disait qu'on allait s’amuser encore plus, s'il se rendait à l'état d’ébriété ou j'étais déjà rendu. Je n'avais rien d'autre à dire, depuis tout à l'heure c'était moi qui ce faisais interroger et il y avait eu des questions assez pertinentes, donc pourquoi ne pas continuer à le laisser m’interroger. *S'il finit par me dire où il veut en venir.*

« C'est une ligne de conduite tout à fait honorable pour un sorcier de ton âge. Si tant soit peu que tu la suives réellement et sans concessions. Si c'est le cas, je ne peux que t'en féliciter »

C'était la meilleure façon de vivre sa vie, surtout quand on a plus rien à perdre. Je ne sais pas si les choses avait été différente si je n'avais jamais perdu ma mère. Cependant, j'étais très heureux de la vie que je menait à présent. Plus de remords, plus de peine, plus de tous ces émotions qui rendent les humains si faibles à mes yeux. S'il y avait bien une personne qui pouvait me féliciter d’être comme je suis c'est bien moi, c'est bien moi qui me suis forgé comme je suis. Quoi qu'il en soit, je du reporter tout mon attention, qui était bien diminuer par tout l'alcool que j'avais bu quand il se remit à me parler.

« Vois-tu, je peux aisément sonder ton âme cependant en ce qui concerne le cran dont tu peux faire preuve, je ne peux malheureusement n'en avoir qu'une vague idée. En effet, beaucoup sont tentés mais très peu cèdent. Même les meilleurs des sorciers peuvent se révéler faibles – leur apparenté avec les hommes ne leur a jamais été que néfaste. Rien de surprenant lorsque l'on sait que les sorciers d'aujourd'hui sont les fruits de brassages avec ces sots cupides et vaniteux. Une seule branche pourrie et c'est l'arbre entier qui en pâti. »

Il parlait vraiment trop ce mec, j'avais du mal à suivre tout ce qu'il me disait, mais j'arrivais tout de même à comprendre le message en sommes. De ce que je comprenais, je pouvais me rendre compte qu'il avait une mentalité semblable à la mienne, c'était de plus en plus clair. Au début, javais remarquer un peu mais là c'était carrément limpide, cet homme avait été placé sur mon chemin pour un raison. Je devais cependant mettre quelque chose au claire.

-Pour ce qui est des branches pourrîtes, pas de souci avec moi, mon arbre et bien «propre».

Il ne sembla pas vraiment se soucier de ce que je disait. Je ne savais pas ce qui le préoccupait, mais moi c'était surtout l'alcool, alors je remplissait nos verres a chaque fois qu'ils étaient vide. Il reprit finalement ce qu'il disait.

« Laissons cela de côté pour l'instant. Ce n'est guère un sujet que je souhaiterais abordé. Aujourd'hui »

Effectivement, il ne se souciait pas du tout de ce que je disait, mais qui serait intéressé par les paroles du jeune lycéen plus très à jeun. Il plaça son regard dans le mien et me rendis mon sourire avant de terminer ce qu'il avait à dire.

« Dis-moi, mon garçon, penses-tu avoir assez de cran pour emprunter une voie très décriée par tes semblables – qui bien qu'ils la dénigrent tout haut la jalousent silencieusement - ? Gardes en tête que, contrairement à ce que l'on peut dire, celle-ci n'est ni accessible à tous ni aisée à suivre. »

Je devais vraiment remettre les pendules à l'heure. S'il n'avait pas encore compris, je n'appréciais pas de me faire appeler «mon garçon». Il n'y avait pas seulement ça, tout ce qu'il disait était à corriger. J'ai donc décidé de me lancer en restant toujours calme.

-Ok, mon nom c'est Shawn, maintenant que tu le connais, tu vas l'utiliser. Je me fiche complètement que tu crois que j'ai ou que je n'ai pas assez le cran pour emprunter cette voie, car c'est la voie que j'emprunterai de toute façon.

Soudain, une de mes idées folles me passa par la tête. Il fallait vraiment que je sois saoul pour avoir ce genre d'idée, mais je sentais que l'on allais bien s'amuser et en plus ça allait nous permettre de faire mieux connaissance.

-Maintenant, nous allons jouer à un petit jeu. Je vais l'appeler «show me what you got» .

Je pris une bouteille qui était à la portée de ma main et la lança violemment vers le mur. Elle se fracassa et éclata en laissant une grosse tache de liqueur sur le mur. Je remis à nouveaux mon attention sur l'homme, j'avais maintenant le sourire fendu jusqu'aux oreilles. J'allais voir s'il en avait dans le ventre ou s'il faisait seulement se la jouer. Après tout il se permettait de douter de moi alors pourquoi je ne pouvais pas douter de lui.

-Tout ce qu'il te reste à faire c'est de faire flamber cette grosse tache que tu vois sur le mur.