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{Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell } La nuit, tous les ivrognes sont gris...

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Alex K. Powell
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MessageSujet: {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell } La nuit, tous les ivrognes sont gris... {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell  }   La nuit, tous les ivrognes sont gris... EmptyJeu 17 Mai - 18:26

♦ La nuit, tous
les ivrognes sont gris...♦
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Voila un moment que je n’avais pas repris mes parties de chasse dans ces bois, je montai donc tranquillement sur la cime d’un arbre écoutant les bruits nocturnes, Etudiant tous les sons un à un entourant la fête qui se jouait à quelques mètres plus bas. Mon regard dansait d’un ado à une jeune femme, jouant avec certains les imaginés plus ivres ou plus sobres, choisissant parmi la peuplade d’adolescents, celui qui conviendrait le mieux à mes critères de chasse champêtre. Après quelques longues minute d’observations, je trouvai mon bonheur, la jeune fille à peine âgée de dix-huit ans ou dix-neuf ans avait fait l’erreur d’être dans mon collimateur depuis quelle trainait autour de ma cousine. Je descendis donc de mon perchoir improvisé et allai poster non loin d’elle. Une odeur d’herbe peu plaisante montait lentement dans l’air. Je n’arrivais pas à comprendre cette addiction pour des substances de contre-bande.

Rapidement l’odeur se calma alors que s’éloignait la troupe, ces dernières ne suivirent pas, J’avançai rapidement vers la dite jeune fille et sans lui laisser le temps d’agir entamai la conversation.

« Bonsoir, il me semble te connaitre, à moins que je ne me plante tu est une amie d’Aria ? »

Son haleine n’empestait pas le Whisky et le cannabis, sous la peau de son cou pale, ses veines bleues saillantes palpitaient. Pas une trace de morsure, aucune trace de dent ne l’avait visiblement touchée. Pas encore du moins mais au vu des invités, cela ne pourrait pas durer à moins que la jeune sorcière soit plus puissante que les derniers sons de cloche de ma cousine.

Je laissai mes iris effleurer sa peau blanche, son parfum semblait si doux. Etonnamment, la belle semblait correspondre à la jeune femme douce que ma cousine connaissait. Mais je n’avais pas pour habitude de me fier à la simple apparence, cela m’aurait valu plus d’un problème. Les vampires, les loups ou les sorciers avec cette coutume de ressembler à monsieur ou madame tout le monde. Bien que j’avoue que certaines étaient bien plus agréables à regarder que d’autres, elles n’en restaient pas moins venimeuses.

« Quel impolie que je fais, moi cet Alex … » je marquai une pause, et plantai mon regard dans le feu de bois qui crépitait à nos pieds « Tu penses pas qu’on devrait poursuivre la discutions ici ? À moins que tu sois mis … »

Je ne fini pas ma phrase consciemment, après examen des lieux, il y avait autour de nous au moins deux vampires pour un humain. Et évidemment mis à part la petite sorcière à mes cotés dont je n’avais pas l’assurance d’un moindre appui, j’étais le seul chasseur. Bien qu’armé plus que convenablement pour une chasse, je restais réaliste face à la situation, un, deux ou trois vampires ça donnait un bon jeu, six, on commençait à suer, mais dix on jouait les morceaux de viande pour chien affamé.

J’attrapai son bras et me penchai vers elle lui faisant le plus charmeur des sourires.

« Suis-moi et sois heureuse et aimante ! »

J’attrapai sa taille, et pausai un baiser dans son cou, juste à quelques centimètre de son oreille où je venais de murmurer ma tirade.

Sans la relâcher je l’entrainai lentement vers la route où se trouvait ma voiture.


Dernière édition par Alex K. Powell le Dim 20 Mai - 14:10, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell } La nuit, tous les ivrognes sont gris... {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell  }   La nuit, tous les ivrognes sont gris... EmptyVen 18 Mai - 12:40

Alex Ҩ Tabatha
" La nuit, tous les ivrognes sont gris... "


Les cours sur le sciences occultes à la faculté c'est pas ceux qui te font tomber sur les gens les plus normaux de Coventry, ça je dois bien l'avouer … J'avais rencontré une fille d'ailleurs à la troisième séance, elle été un peu spéciale toujours vêtue de noir, le teint légèrement macabre et les bras toujours cacher par de longue manche. Il n'y as qu'un jour ou j'ai aperçus de drôle de cicatrice comme des morsures, et forcement mon intérêt pour elle a augmenter. Depuis que j'avais rencontré Thaïs, j'avais l'impression de rencontré des suceurs de sang partout, ce qui me glace le sang a chaque fois que j'en croise un, malgré que comme nous les sorciers il y en ai des bons comme Thaïs mais il en as aussi des mauvais, comme celui qui use et abuse de la jeune fille du cours de sciences occultes.
Vous devez sûrement vous demander ce que je fais là, raison assez simple comme j'étais une des seules de mon cours a lui parler car j'avais de l’intérêt pour elle, elle m'avait invité a une « fête » rien que quand elle m'eut donner le flyer de la dite j'avais l'impression de me faire croquer partout et pourquoi suis-je là ? Parce que j'avais pitié d'elle, je me suis dis que si je voyais que la situation prendrait un tournure qui me plairait pas j'arriverais a la persuadée de partir, fuir avec moi, la protéger quoi …

Nous étions arrivées à la fêtes, je me sentais légèrement décaler de l'ambiance voir même beaucoup. Le regard à l’afflux de tout débordement j'avais le cœurs qui battait a tout rompre depuis qu'elle avait garé ça voiture a l'entrée de la forêt. Mes pieds évités toutes les branches qui auraient pus attiré le regard des être malfaisants sorciers comme tout autre être surnaturel … je croisais les doigts intérieurement pour que je ne sois pas la seule lucide, ma coéquipière de soirée me tend une bouteille d'alcool, l'odeur me charme mais ce n'est pas le moment de joué de la bouteille alors que je me suis donné une mission de protéger la jeune idoleuse de Satan. Pourquoi n'ai-je pas fais comme d'habitude, aller manger du pop corne chez Katniss en regardant How I Met Your Mother ne me plaît plus ? Pourtant si, j'adore toujours autant l'humour de Barney. Je dois avoir vraiment des envie des suicides, comme dirais le psy de l'école « tu remet tout cela sur le dos de l’incendie qui a tuer ta mère c'est normal de réagir ainsi » combien de fois j'ai eu envie de lui dire « non je suis une sorcière, et je suis juste assez inconsciente pour toujours me mettre dans des situation qui mettent en péril ma vie, c'est pas grave je suis un peu sadomasochiste voyez vous. » Je décline sa bouteille en lui souriant tandis qu'elle se jette sur le goulot et mon regard se perds dans le foule, certains dansent et d'autres boivent tandis que d'autre son même en plein actes sexuelle a la vus de tout le monde … décidément je préfère les beuverie universitaire que cette drôle de regroupement. Un bruit sourd et je me retourne, la fille n'étais plus là ! Intérieurement je panique, je tourne sur moi même reculant doucement pour revenir sur mes pat lorsque que je me heurte a un couple, d'ailleurs drôle de couple car visiblement le « jeune » garçon ne lui baise pas la main mais lui bouffe littéralement le poignet ! Je laisse passer un « excusez moi » tandis qu'ils me fuirent comme la peste, je reste un moment a fixé le lieu ou il été avant de me retourné, un homme s'avance vers moi et mon cœur s'emballe encore un peu plus, entament la conversation avant que je n'ai eu le temps de fuir.
    « Bonsoir, il me semble te connaître, à moins que je ne me plante tu es une amie d'Aria »

Ouf ! Si il connaît Aria c'est que ce n'est pas un barbare qui voudra me tuer ou boire mon sang … enfin quoi que si lui aussi est un chasseur et qu'il été pas aussi compatissant que Aria pour me laisser la vie sauve j'avais des chances pour passé à la casserole ! Vraiment pourquoi je ne suis pas rester chez moi a me goinfré devant la télé ?
Son regard parcourant chaque coin visible de ma peau comme ci il cherchait des traces de morsures ou peut être de piqûre vus l'état de certains, par chance je ne suis pas une adepte de ses choses et je ne bois que rarement car je ne tiens vraiment pas la bouteille. Je lui esquisse un sourire, on visage m'était légèrement familier peut être que Aria m'en as déjà parler et que les traits me sont familier ou je ne sais pas. Dans tout les cas il n'était pas repoussant loin de là !
    « Quel impolie que je fais, moi cet Alex … Tu penses pas qu’on devrait poursuivre la discutions ici ? À moins que tu sois mis … »
    « Ah tu es le cousin d'Aria ! Pour ça que ton visage bien que je n'ai l'occasion de te rencontré pour la première foi ici ne m'est pas inconnus … Oui je voudrai bien partir … mais j'ai perdus mon, euh mon amie ici elle a disparut le temps que je me retourne »

Mon amie, qui n'est pas vraiment une amie. Je ne la connaissait pas mise a par que j'avais bien compris qu'elle été la poche a sang frais d'un vampire et que je voulais la protéger. D'ailleurs je n'étais pas très courageuse, j'étais plutôt impulsive et je me mettais dans des situations bizarre et après j'avais la trouille. Je dégluties doucement tandis que autour de nous la scène prenait un peu plus d’ampleurs qu'a mon arrivé. Ou été la fille que je voulais aidé ? Je n'en savais rien du tout, je la cherchais du regard mais j'avais bien peur que je serais dans l'incapacité de la retrouver et c'était pas avec mes pouvoirs que je contrôler avec du mal que j'aurais réussis a me défendre, sûrement avec les quelques petites potions que j'avais préparé pour crée des champs de brume pour m’enfuir ou des explosions mais rien de bien pratique.
Le cousin d'Aria, nommé Alex, m'attrape le bras en se penchant vers moi d'ailleurs il été très grand par rapport a moi qui suis vraiment très très petite, avec un sourire charmeur qui m'attire un sourire charmé.
    « Suis-moi et sois heureuse et aimante ! »

Je n’eus le temps de répondre qu'il m'attrape par la taille m'arrachant un sursaut de surprise et me dépose un baiser dans le cou qui me laisse échapper un soupire tandis que mes joues virent a l'écarlate heureusement pour moi qu'il ne fait pas grand jour sinon j'aurais eu l'air bête a sourire comme une idiote et a être rouge comme une tomate. Il m’entraîne loin de la « fête » et sur nos pats je regarde partout autour de moi si je trouve la fille du cours de sciences occultes mais je n'ai pas vus sa personne tandis qu'on arrive a cette voiture.
    « Merci de euh m'avoir sortie de là. »

Mes joues avaient repris une teinte surement normal et mon cœur avait cesser de palpiter comme si il voulait sortir de ma poitrine. A présent je me sentais en sécurité, loin de tout ses autres personnes mais j'étais quand même peiné d'avoir laisser la fille toute seule.
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MessageSujet: Re: {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell } La nuit, tous les ivrognes sont gris... {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell  }   La nuit, tous les ivrognes sont gris... EmptyVen 18 Mai - 17:45

♦ La nuit, tous
les ivrognes sont gris...♦
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« Merci de euh m'avoir sortie de là. ». Chanta-t-elle un peu trop rapidement.

«Ces but de ma vie, voyons j'aime sauté sur les belles perdu dans les bois ... » J'avais pris un ton a la fois taquin et sérieux alors que mon regard la fixé des plus froidement a présent suite a la gaffe.

Non mais franchement, qui aurait l’idée de se fourrer dans un nid de guêpes pareil. Je parlais évidement pas de la miss à mes cotés à présent, mais de moi. J’aurais pu simplement rester le cul pausé sur ma branche les regarder implorer je ne sais quel dieu, jouer de leurs corps les uns avec les autres, histoire de se faire leurs propres films X et finir la nuit repu de sang de drogue et de sexe en tout genre. Après tout on a pas idée de venir dans ces fêtes sans prévoir qu’elles seraient bondées d’opportunistes. Et qui sont les pires en la matière … et oui les vampires.

Je laissais ma main dans la sienne, pas question de la lâcher, quitte à embarquer sur son navire qui coule, autant nager à deux à présent. Etonnamment plus on approchait de mon impala plus je santais le vent tourner. J’avais ce curieux sentiment d’être surveillé et bien sur ma petite touriste ne semblait pas s’en rendre compte, presque heureuse d’être sortie de la clairière. Après quelques pas, mes soupçons se confirmèrent, quelques craquements dans les cimes, un son sourd dans l’aurée du bois. Rien de bien rassurant en soit. Je nous stoppai et pausai un doigt sur sa bouche en signe de silence.

Alors que dans ma tête, je visualisais les différents plans de sortie. Je me retrouvai au milieu de rien avec un brin de femme pas plus puissante que le petit poucet face au grand méchant loup. Le seul point réellement positif c’est que je n’avais pas plongé dans la marre sans armes. Mais combien de temps m’aideraient-elles à tenir ? Avec une verne de cocu, j’avais affaire à de jeunes vampires pas assez intellos, avec un cul bordé de nouilles, ils fuiraient après que j’ai éliminé quatre des plus crétins. Le souci était de savoir ce que ma coéquipière d’un soir savait faire. Nageait-elle comme un caillou ou avait-elle au moins acquit les bases pour un sprint.

J’avais vraiment l’impression d’être un abruti, après tout pourquoi la sauver ? Je n’aurai été coupable de rien dans sa perte, qui aurait su de toutes façons que je l’avais vue. Le visage d’Aria en pleurs me revint et là, toute conviction d’avoir fait la connerie de ma nuit s’échappa, alors que ma main serrait un peu plus fortement la sienne.

Je continuai à scruter le ciel tout en comptant mentalement les sangsues qui nous regardaient comme deux gigots tendres près à la cuisson.

*1, 2, 3, 4, 5 plus un au sol, un gémissement égale un humain, bon ben c’est faisable, pas génial mais mieux que tout a l’heure*
J’entrepris donc de ruser un peu, plus on serait loin du camp, plus de chances pour nous de voir le jour. Je me penchai vers elle la poussant contre la porte de la coupé sport ma bouche se mit à embrasser son cou alors que mon regard ne lâchait pas les arbres occupés. Doucement mais surement, mes lèvres touchèrent le lobe de son oreille. Et je profitai de la proximité pour glisser sa main sur le manche d’un des pieux dans ma veste alors que je soufflai doucement quelques mots.

« Si l’on se trouvait un petit coin bien tranquille pour poursuivre ma belle, je te promets que tu ne le regretteras pas »

Machinalement j’haussai un sourcil, * voila qui fait bateau, souhaitons qu’elle lise entre les lignes ou on est mort*

J’avais envie de rentrer dans le lard de tous ces abrutis, mais le faire ici était totalement suicidaire. Ma main glissait à présent le long de sa hanche et toucha rapidement l’objectif, évidement la poignée ne bougea pas, ce qui laissait encore sa caisse ouverte même dans les bois au milieu de nulle part. Reculant doucement d’elle je lui fis un nouveau sourire tout en lui indiquant de la tête le chemin à suivre.

« On y vas …»dis-je distinctement. Avant de poursuivre dans un murmure, « respire … »

Cette réflexion à son cœur hurlant de me bouffer moi pouvait paraitre aux yeux des observateurs comme une tirade que je me donnais à moi-même pour me filer du courage alors que cela lui était tout simplement destiné.


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MessageSujet: Re: {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell } La nuit, tous les ivrognes sont gris... {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell  }   La nuit, tous les ivrognes sont gris... EmptyVen 18 Mai - 21:11

Alex Ҩ Tabatha
" La nuit, tous les ivrognes sont gris... "


    « Ces but de ma vie, voyons j'aime sauté sur les belles perdu dans les bois ... »

Certes j'avais sûrement clamer victoire un peu trop tôt. Car comme m'as bien appris Thaïs un vampire a l’ouïe fine et si ils ont entendus mon cœur apeuré, ils sont entré en chasse contre moi. Et ma peaux serais leurs trophées du moins mon sang.
Mon regard été porté vers lui comme une enfant envers une grande personne qui le remmène a l'entrée du magasin a ses parents, sûrement que mes deux grand yeux vert devait briller devant sa stature qui n'était pas exagérée de Aria, c'est vrais qu'il été bien bâtie comme un dieu grecs, sûrement grâce a la chasse.
    « Tout ça fait conte de fée, heureusement que je suis pas déplaisante a regarder, sinon qui m'aurait enlever sur son chevaleresque destrier ?»

Si il n'aurait pas été la, j'aurais espérer que Thaïs ai un don assez étrange et venir arracher la tête a tout le monde. Tellement elle est vieille elle doit bien être respectée de tout les suceurs de sang psychopathe. D'ailleurs ils ont des idées assez farfelue pour attiré du sang frais, des fêtes c'est pas commun et moi alors je ne suis pas mieux de me laisser entraînée par une inconnus juste parce qu'elle est dans mon cours et qu'elle avait des morsures plein des bras et que je voulais tout simplement l’empêcher d'y retourner. J'aurais pas pus tout simplement l'invité a venir faire une soirée pyjama chez moi, boire des milk shake et se faire des tresses et bien non, il a fallut que je joue les justicière alors que j'ai peur d'une araignée.

Sa main été toujours dans la mienne, d'ailleurs grâce a ça j'avais un grand sentiment de sécurité bien que la forêt n'est pas vraiment l'endroit dans laquelle je me sens le mieux. Je préfère être de loin dans mon lit ou alors dans ma salle de bain … oui d'ailleurs c'est bizarre de se sentir bien dans une salle de bain je dois pouvoir penser me défendre avec un rouge a lèvre ou alors avec un mascara bien aiguisé. Mais bien que je me sentais en sécurité avec sa main dans la mienne j'avais l'impression d'être suivie voir même d'être observé depuis qu'on avait quitté la fête et bien mon sentiment été fondé j'avais clamer trop vite qu'il m'avait sortie de là. A mon avis on a pas le droit de quitter c'est petit festivité sans la marque locale d'une morsure quelque part … Tabatha tu as encore fait des conneries, fait gaffe a tes fesses et tu as intérêt a pour une foi faire attention a ta concentration parce que je crois bien que tu vas avoir besoin de te servir de tes pouvoirs.
Je continuer d'afficher un sourire joviale « sois heureuse et aimante » m'avait-il mais je devais sûrement avoir l'air d'une idiote a sourire comme bécassine qui mange une glace au chocolat. Des craquements proviennent d'un peu partout, m'alarmant tandis que finalement mon sourire ce transforme vite en une grimace assez bizarre un peu comme on a un très gros mal de ventre et que tout autour de nous existe plus sauf justement votre mal de ventre que vous essayé de camouflé parce que vous êtes entrain de faire vos courses. Nous nous stoppons et il pose un doigt sur ma bouche et tellement stresser dans ma tête que j'étais entrain de me faire une partie du roi du silence, Katniss ou Joy avait raison ; je ne suis pas capable de rester sérieuse même quand la situation est sérieuse et bien sur j'accompagne tout le monde dans ma galère. Bon après être idiote il y a une truc dont je suis douée ; la fuite je court comme personne avec ma phobie des araignées, oh pis aussi quand j'ai mis le feu a notre cuisine, quand j'ai fais explosé la télé. Mais bon j'ai jamais eu a courir plus vit qu'un vampire qui voulait se faire un milk shake a la cerise avec mon sang ! Ça main serrait la mienne encore un peu plus fort, visiblement lui aussi c'est rendus compte que nous n'étions plus seuls, je déglutie avec difficulté tandis qu'a mon tour je resserre mes doigts dans les siens.
    « Si l’on se trouvait un petit coin bien tranquille pour poursuivre ma belle, je te promets que tu ne le regretteras pas»

Alors que ses lèvres parcourent mon cou quelque instant plus tôt me fessant légèrement perde la situation sous chaque pression des baiser, il m'avait dit une phrase tel un enjôleur si bien que je me serais vite laisser prendre en mots devant cette stature grecs si je savais pas qu'autour de moi été attrouper une bande de sauvage affamer. Mais malgré tout mes joue rougirent surtout lorsqu'il glissa ma main sur une chose particulièrement dure avant que mon esprit s'emballe vraiment trop rapidement pour une esprit aussi sage que le mien … et c'est qu’après quelque seconde de réflexion que je me rendis compte que se que j'imaginais de très cocasse été un simple pieux en bois pas très excitant …

J’avais bloqué ma respiration tandis que toute mes émotions bouillonnait en moi. De la peur, de la sécurité, une sensation aussi d'excitation au danger, de la colère envers moi même. Enfaîte j'étais plutôt entrain de me transformé en une bombe a retardement plutôt qu'en personne normal. On pourrait faire passé ça pour une petit innocente entrain de succombé au charme d'un inconnus rencontré sur le vif de la fête.
    « On y vas … respire ...»

Décidément ça se voyait dans le noir que je devais rouge au point d'avoir la tête qui explose tellement je ne respirais plus ? Ou alors c'était une manière pour lui aussi de ce rassuré autant que moi. Parce que c'est vrais que pour moi ça marché, enfin difficilement car j'avais le ventre nouée par la peur. La gorge serré par ça façon de parlé pour essayé de détourner l'intention de nous.
Et j'avais des idées idiotes, j'avais envie de prendre le pieux qu'il m'avait fait toucher l'envoyer dans les arbres, ou alors être tellement énerver que je provoquerais un incendie, mais qui me disait que tout cela marcherais ? Et justement que je n'allais pas plus énerver notre bande de suiveur assoiffé qui allait se faire une joie de boire un coup ?

Ma main libre alla se glisser dans les cheveux court d'Alex, répondant a ses gestes charmeur. Glissant ma main dans le dégagement de ma nuque je l'oblige a collé tout montre mon corps tandis que je me hisse sur la pointe des pieds pour atteindre son oreille avant de lui susurré quelques mots.
    « T'es propositions me coupe le souffle, j'espère bien que je ne le regretterais pas … » Lui mordillant le lobe avant de déposé un léger baiser derrière son oreille, pourquoi n'en profiterais-je pas moi non plus ? « Allons y maintenant, avant que tu ne sois obliger de me montré de quoi tu es capable … ici et maintenant»
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MessageSujet: Re: {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell } La nuit, tous les ivrognes sont gris... {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell  }   La nuit, tous les ivrognes sont gris... EmptyVen 18 Mai - 23:38

♦ La nuit, tous
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« Tes propositions me coupent le souffle, j'espère bien que je ne le regretterai pas … » me dit-elle en me mordillant le lobe avant de déposer un léger baiser derrière mon oreille, un sourire poussa sur la commissure de mes lèvres voyant qu’elle avait pris le jeu en main. « Allons-y maintenant, avant que tu ne sois obligée de me montrer de quoi tu es capable … ici et maintenant»

Je penchai la tête en une mimique des plus amusée. Et sans jamais lâcher sa main l’entrainai avec moi sur la route. Je regrettais seulement que ma voiture soit trop près du camp pour la fourrer dans l’habitacle et en finir avec ces saloperies.

Après deux minutes de pas dans le silence, enfin si on oublie les craquements qui nous suivaient, je sentais sa main moite dans la mienne. J’aurai pu jurer que son cœur reposait dans la paume de cette dernière. J’en avais presque mal pour elle, j’aurai aimé la rassurer, lui dire que rien n’allait lui arriver. Mais tout allait dépendre de notre capacité à jouer le jeu des tourtereaux et surtout acteurs suffisamment crédibles pour qu’ils aient envie de voir la suite du film.

Après quelques pas je m’arrêtai pour remettre un peu de piment dans la vue des voyeurs, et je soulevai son corps pour placer ses bras dans mon dos, évidement le tout sous m’assurant que mes deux mains soient à portée de ma lame ou de mes pieux. Je bénissais le fait de ne pas être chatouilleux et d’avoir à faire à un brin de femme des plus légers.

Mes yeux se plantèrent dans les siens alors que la lune nous éclairait à présent, dégagée de tout nuage de fumée du camp. J’avançai lentement mon visage près du siens, suffisamment pour sentir son souffle cour crasser mes lèvres. Lentement je détachai ses cheveux pour couvrir la vision des vampires et leur donner envie d’en voir plus. Alors que mes lèvres frôlaient les siennes et murmuraient en silence.

« Quand on sort de tout ça tu me doit un rendez-vous » ma bouche se posa sur le coin de la sienne assez bruyamment pour feindre un vrai baiser, alors que je reprenais la route jusqu'à la rivière. Pausant sa tête dans mon coup, j’espérais que la proximité expliquerait à présent son souffle court où les battements de cœur hurlant. Une fois enfin a l’abri, je l’allongeai sur le talus et remerciai le ciel qu’on soit enfin suffisamment à l’écart pour se mettre à l’action.

Je m’approchai de son corps et retirai ma veste la pausant ouverte à ses côtés. Puis retirai ma chemise ouverte et me penchai sur elle, pausant plusieurs baisers dans son coup avant de me stopper.

« Tu trembles mon cœur, mets ma veste, je vais faire un petit feu. » *Non mais sérieusement, mon coeur en voila un surnom bien crétin, qu'est qu'il faillais pas dire comme connerie tout de même*

Evidemment le tout n’avait qu’un but simple, le feu pour les cramer et mieux les voir, ma veste sur elle pour qu’elle ait le loisir de prendre la bombe de verveine et les pieux, alors que contre mon torse à présent nu reposait le manche de mon couteau en ébène. Je récupérai donc dans ma poche le zippo et après avoir mis en place plusieurs branchages ouverts ce dernier pour en déverser un peu de son essence, avant d’allumer la flamme qui embrasa le tout.

« À présent si on passait aux choses sérieuses »dis-je tout en pausant ma main au niveau de mon ceinturon où dépassait le manche de mon couteau.

Je me penchai doucement pour l’aider à se relever et la serrai contre moi.

« Ils arrivent, nous sommes trop lent pour eux, quoi qu’il arrive, reste contre l’arbre et n’en bouge pas, s’il te plait, pas de magie ou ils rappliqueront tous »

J’eus à peine le temps de finir ma phrase que déjà je la propulsai contre l’arbre et plantai ma l’âme dans le cœur d’un des vampires. Après quelques mouvements de plus j’allumai le second vampire, et m’avançai vers le troisième sans jamais me retirer de l’angle de protection. Je laissai donc à peine quelques mètres entre elle et moi.

Avant de sentir une brulure me prendre sur une des cotes et rouler bouler avec mon troisième vampire, la chaleur de mon sang coulant sur ma hanche m’indiqua aussitôt que je venais de me prendre un bon coup, mais il m’en faudrait plus pour m’effondrer. Après quelques ruades, ma lame arriva à nouveau à destination. Alors que je repoussais le corps à présent mort du troisième, je cherchai du regard Tabatha et les deux derniers vampires qui nous avaient suivis.

Aussitôt mon inquiétude se décupla, *deux, il est passé où le sixième ? Puis je fut sortis de mes pensées par mes propres gémissements. Et j’espérais que le sixième était de ce fait resté avec sa gotique, victime pour laquelle je n’avais aucune pitié, d’autant qu’ils servaient pour la plus part de rabatteur pour ces saloperie.

Je me relevai donc difficilement et m’avançai vers le feu espérant que ma veste avait été utile à la jeune femme…


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Alex Ҩ Tabatha
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J'avais compris le jeu de charme d'Alex, un stratagème pour tenter de nous sortir de la en éloignant le plus possible nos suiveurs pervers de la forêt pour pouvoir les radiers sans attiré la trouve de fêtard plus loin. Tandis que j'étais fière de moi et de mes réponses des plus convaincantes qui lui avait valut un sourire, il m’entraîna de nouveau sur la route. Tout ce chemin commençait a m'épuiser, ou alors c'était d’être trop sur mes garde parce que je suis pas du genre a être une flemmarde et a couiner quand je marche trop mais mine de rien c'est vrais que la fête ce déroulait bien en profondeur dans la forêt.
Les minutes de silences dans laquelle on parcourait le chemin me paraissait une éternité, de plus tout ces craquements qui font monter le stresse comme quand on est au lit le soir et qu'on ce focalise sur un petit bruit, un grincement ou même un tapement et parfois simplement notre cœur qui raisonne a travers nous qui nous fait monté la paranoïa et nous faire croire au fantômes l'espace d'une nuit ; ne me dite pas que ça vous ai jamais arriver ! J'aimerais tellement être chez moi a ce moment là, je regretter d'avoir voulut être chevaleresque et d'être une sorcière qui sauve les innocentes des vilains vampires pour être encore la petite fille qui se glisse dans le lit de son père parce qu'elle a peur du monstre dans son placard ; d'ailleurs il n'était même pas au courant d’où j'étais, il dormait déjà a point fermer quand je suis sortie et si on ne s'en sortait pas c'est en voyant débarquer un coroner à la maison demain matin car un chasseur aura retrouver mon corps déchiqueter, et pour l'identification il aurait emmener des photos de mon corps fraîchement mutilé a mon père ; charmante vus au petit déjeuner. Je devais bien avouer que ma penser été quand même un peu barbare, je devais avoir confiance en Alex après tout il sait ce qu'il fait non ? Et si il avait juger que c'était une mission a échec a mon avis il m'aurait déjà laisser la haut me faire boire comme un milk shake et ressembler a un pruneaux déshydrater.

Partie dans mes penser, je n'avais même pas sentis le bel homme me soulever contre lui. Mes bras et jambes s'encercle machinalement contre lui et sur mon visage un fin sourire ce dessine tandis que mon regarde vide de penser reprend un peu de sentiments. La scène devait avoir assez romantique si on ne connaissait pas la vrais raison, deux jeune amoureux éclairé par la lune, le regard planter l'un dans l'autre et leurs visage qui se rapprochait lentement ; vraiment la vision d'un film romantique qui allait finir en bain de sang parce que l'homme a la tronçonneuse allait arriver. Doucement il détache ma chevelure tandis que ses lèvres frôlèrent les miennes m'attirant un frisson inexplicable.
    « Quand on sort de tout ça tu me doit un rendez-vous »
    « Tu ne devrais pas avoir de mal a trouver mon adresse, met toi sur ton 31 et tu n'auras pas de mal a avoir un rendez-vous. »

C'est lèvres se posèrent sur le coin des miennes et mes yeux s’écarquillent d'un coup et mes joues deviennent de feu, décidément j'aurais eu une soirée pleine de rebondissement, malgré que cela soit fictif ça ne m’empêcher pas d'avoir des pique au cœurs … Je me dégage de ses lèvres pour fondre ma tête dans sa nuque, le cœur battant de fatigue et d'émotion et mon souffle court commencer a reprendre du mouvement. Doucement Alex me dépose au sol, allonger sous la lune je cherche nos suiveurs du regards et tandis que mon regard qui se pose sur lui ce dévêtant de ça veste pour la posé a mes côtés et continuer par sa chemise dévoiler son corps, dont je ne puis détacher le regard alors qu'il se penchait au dessus de moi, mettant mes mains en avant pour palmer se corps chaud et parfait. Ses lèvres parcourant mon cou de baisers m'extirpant des tremblements et une respiration haletante
    « tu trembles mon cœur, mets ma veste, je vais faire un petit feu. »

Je pris sa veste en m’enveloppe dedans. Tout de suite je me sentais déjà beaucoup mieux, déjà j'avais un peu plus chaud que les bras nue dans ma petite robe et pis ensuite une sentiment de sécurité en sentant l'odeur masculine qui m’envelopper. Je serrais les pan de la veste tout contre moi, alors qu'il récupérais se qu'il avait besoin dans ses poches. Je le regarde assise au sol allumer un feu qui s'embrasse avec faciliter, j'avais une envie de chamallow grillé, mais je doutais fort que c'est ce que nous allons faire, ça allait plutôt sentir le cadavre griller ; appétissant !
    « A présent si on passait aux choses sérieuses. »
    « J'en frémis d'avance »

Dit-il la main porté a son ceinturons, a vrais dire c'est certains que j'en frémissais d'avance, mais pas d'excitation surtout de peur. J'avais vraiment la trouille d'y laisser ma peaux et en plus de ça entraîne Alex. Même si je ne doutais pas de ses capacité de chasse, après tout c'est son domaine. Mais le mien c'est plutôt les gaffes et être plutôt la déesse en détresse plutôt que la buffy contre les vampires le pieux à la main. D'ailleurs j'ai jamais fais ça, alors je sens que ça va être un peu pittoresque plutôt que glorieux. Si je m'en sors indemne, Alex aura le droit a son rendez-vous. Voir même plus d'un !
Il m'aida doucement a me relever, et me serre contre lui, j'entoure mes bras contre son torse et colle ma joue en le serrant de toute mes forces.
    « Ils arrivent, nous sommes trop lent pour eux, quoi qu’il arrive, reste contre l’arbre et n’en bouge pas, s’il te plait, pas de magie ou ils rappliqueront tous »

Comment lui promettre de ne pas faire de magie ? Comme ci je la contrôlais a la perfection c’était plutôt sur que si j'avais une émotion de trop, tout autour de moi ce mettrais a s'embrasser ou alors exploser ; Je sais jamais comment ça va se dérouler. Parfois j'ai de la chance ça se passe sans problème ! Mais c'est toujours quand on espère que ça y va pas.
Je me suis sentis propulser contre les arbres non loin de nous, Alex été entrer en combat avec les vampires. Je rester un moment a suivre ces gestes, jusqu'à que des craquements au dessus de moi m'attire. Une jeune femme, perché en haut des cimes des arbres, sauter de branche en branche pour m'attraper. Je pousse des cris, courant a travers les arbres pour me rapprocher du feu. Glissant et tombant je me retrouve sur le ventre et il ne me fut que quelque seconde pour me remettre sur le dos avant que la vampire ne me saute dessus a peine eu le temps de dégainer le pieux pour en venir a bout. Le cœur battant et mon corps m'acculer de sang et la peur au ventre. Je me redresse en serrant le pieux devant moi prête a planter tout ce qui bouge, j'avance en reculant lentement vers le feu quand soudain je me heurte à Alex. Me retournant prête en l'embrocher, le pieux lever en l'air dessus ma tête, je stoppe tout mes gestes en hurlant de peur et le visage rouge sanguinolent de part et d'autre.
    « AAAAAH »
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MessageSujet: Re: {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell } La nuit, tous les ivrognes sont gris... {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell  }   La nuit, tous les ivrognes sont gris... EmptyDim 20 Mai - 13:44

♦ La nuit, tous
les ivrognes sont gris...♦
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Doucement dans un calme intérieur terrifiant j’avançais vers elle, j’aurai surement du courir, me ruer vers elle. Ses hurlements envahissaient mes oreilles. Tout le monde aurait couru face à une telle terreur apparente mais pas moi, elle signifiait seulement qu’elle n’était pas morte et que les vampires ne l’avaient pas eu. Tout en titubant un moment je passai ma main sur la plaie béante et grimaçai. Inspirant puissamment pour remettre mes pensées en place, alors que je la trouvai en plein face à face avec une petite rousse au teint blafard.

La scène aurait été digne d’un film comique, ses bras se balançaient dans toutes les directions, ces jambes semblaient effectuer une danse indienne à quelques mètres du feu de bois. Alors que la rouquine un peu perde cherchait surement la prochaine esquive à effectuer. Je cherchai du regard le second vampire et le trouvai rapidement, dans ses gestes elle avait du lui asséner un coup fatal. Ce dernier gisait au pied de l’arbre où je lui avais si aimablement demandé de ne pas bouger.

Fatigué et surtout mal en point je serrai ma lame et m’avançai sans attendre vers la rouquine qui avait enfin prit conscience de ma présence délaissant la petite furie. Je gardais ma posture courbée ce qui laissait entendre que je serais du pain bénis pour cette dernière. Mon couteau toujours figé dans la paume de ma main n’attendant qu’un mouvement pour trancher ses chairs. Il ne fallu pas longtemps pour la sentir poser ses phalanges froides sur ma peau nue. Alors que je glissai mon regard dans ses iris rougis par l’odeur de mon sang.
« Je ne suis pas au menu désolé » lui clamais-je doucement, alors que déjà ma lame transperçait sa poitrine, mon bras libre se plaça derrière son dos pour la maintenir.

Son corps s’affaissait doucement alors que mon bras la maintenait, elle avait beau être un vampire, elle n’en restait pas moins un être qui fut à un moment l’enfant, la sœur, la petite amie de quelqu’un. Je finis donc par délaisser son corps une fois que son cœur et son corps totalement exsangue de toute vie, enfin si on pouvait donner ce titre à sa seconde mort. Grimaçant une nouvelle fois face à la douleur aigue que la plaie sur mes côtés produisait. Me ressaisissant, je me redressai et arborai un visage plus naturel. Arrivent enfin au niveau de l’amie de ma cousine, je profitai du fait qu’elle fut de dos à moi pour la saisir et bloquer ses gestes.

« Calme c’est bon »

Je pouvais sentir son corps se débattre, avant de se résigner, avait-elle seulement réalisée que c’était moi qui l’enserrais. Je n’en étais pas convaincu, c'est pourquoi je glissai ma main sur sa main et récupérai le pieu qu’elle tenait encore comme un naufragé s’accrochant à un rocher. Enfin désarmée je la retournai doucement reculant d’un pas, m’assurant de ne pas la salir de mon sang.

« Chut tout va bien »

Lentement sans décrocher mon regard du siens. Je me laissai descendre vers le sol pour l’assoir le plus doucement possible. La douleur me brulait de plus en plus et j’en déplorais intérieurement la gravité. J’étais bon pour plusieurs jours de vacances avec cette côte fêlée. J’avais aussi gagné plusieurs points de suture. Mais je me félicitai de sa survie, j’avoue que jusqu'à ce moment, Je n’aurai pas mis ma main au bucher sur cette probabilité.

Une fois assise, je glissai ma main dans ses cheveux les repoussant de son visage. « Tu n’es pas blessé ? » m’en quéris-je, alors que je pausais discrètement ma main dans l’herbe pour me maintenir le plus droit possible. Pas question de dépendre d’elle du moins pas encore.

« J’ai besoin que tu reprennes tous tes esprits, à quelques kilomètres se trouve un refuge pour les randonneurs, on va devoir aller là-bas. Penses-tu être capable de marcher jusque là ? »

En étais-je moi-même capable ? Ces quelques kilomètres allaient être sans nul doute les plus longs que j’allais faire depuis de nombreuses années. Je n’avais pas eu à subir un tel choc depuis ma jambe brisée par le combat qui avait fini par la mort de mon père et la disparition de ma mère.

Evidemment le combat de ce soir n’avait eu rien à voir en comparaison, l’assaillant n’était pas ma mère possédée.

Je cherchais toujours dans ses yeux le calme, espérant lui infiltrer celui qui m’habitait. Les flammes à nos côtés dansaient et réchauffaient l’air, faisant presque oublier que dans tout ce cinéma j’avais tombé le haut et que je devais le rechercher avant de partir.

Maladroitement je me redressai et récupérai ma lame au sol pour la replacer dans son étui. Je me jurai de repasser bruler tout ce petit monde et jugeai qu’elle avait eu sa dose d’horreur pour le moment et n’allait pas lui affliger la vue de cinq corps grillant les uns sur les autres.

Lui tendant finalement la main je cherchais du regard mon haut.
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MessageSujet: Re: {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell } La nuit, tous les ivrognes sont gris... {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell  }   La nuit, tous les ivrognes sont gris... EmptyDim 20 Mai - 17:47

Alex Ҩ Tabatha
" La nuit, tous les ivrognes sont gris... "


Le pieux dresser au dessus de ma tête, surprise de me retrouver nez à nez avec Alex mais tout bien même soulager que ça soit lui, mon cœur battait a une vitesse dépassant l'anormal. Mon ventre été tellement nouer qu'il me menaçait a chaque mouvement de rendre a cause de ma tête déboussoler de toute orientation. Aujourd'hui j'avais tuer un vampire pour sauver ma peau et je sentais encore cette peur et cette adrénaline qui ma pousser a lui enfoncer ce pieu droit au cœur pour me sauver la vie.
Je reste un moment à fixer Alex, la bouche grande ouverte après avoir pousser mon cris de terreurs après mettre réaliser que c’était lui et j’espérais que tout été fini.
    « Calme c'est bon »

Ma main tremblait sur le pieu de bois, j'avais l'impression que tout mes nerfs me lâchait un a un, des larmes ruisselant le long de mes joues, mes jambes et mes bras tremblaient aussi fortement des des feuilles en automne. Doucement la main d'Alex vint ce glisser sur la mienne pour saisir l'arme que j'avais en main depuis l'actif. Je ressentais une légère douleur dans ma paume de main tellement j'avais serré l'objet avec force.
Je me sentais pivoter sur moi même et le visage d'Alex me rassuré, j'avais envie de le serre contre moi que ses bras protecteur m'encercle et que je me love comme ci rien ne s'était passer mais lors que je vis qu'il gardé une certaine distance, je me suis mise aussi tôt a chercher pourquoi. C'est la que je vis l'entaille qui été vraiment dans un sale état et je m'estimais quand même heureuse de n'avoir rien eu a par quelque petit égratignures.
    « Chut tout va bien »

Doucement nous nous laissions descendre vers le soir pour nous y asseoir quelques instants ; je me serais lourdement posé sur le sol si il n'était pas blesser et un sentiment de culpabilité naissait en moi. Car après tout si il été blesser c’était pour m'avoir sauvé et je ne pouvais pas ne pas m'en vouloir de ça. Je le regardais avec compatissante et culpabilité dans les légère grimace qui formait lorsque nous atteignons le sol, ça main glissante dans ma chevelure je fermais mes yeux tandis qu'il enlever les mèches qui gênais dans mon visage.
    « tu n'es as blessé »
    « a première vus je pense pas … je dois juste avoir des hématomes et des égratignures »

Dis-je en scrutant mes jambes, mes bras et le reste du moins que ce qui est visible au premier abord. C'est en voyant la légère bosse au niveau de ma botte gauche en cuire que je me rappel que j'avais emmener de quoi aidé la jeune fille si elle venait a se faire mordre et que nous étions sortie en fuite. Sur moi j'avais cacher des de-coctions de plante et crème d'herbes un peu partout quand mes poches, dans mon soutiens gorges et mes bottes de quoi être une vrais pharmacie ambulante et je devais sûrement avoir de quoi soulager Alex .
    « J’ai besoin que tu reprennes tous tes esprits, à quelques kilomètres se trouve un refuge pour les randonneurs, on va devoir aller là-bas. Penses-tu être capable de marcher jusque là ? »
    « Je pense en être capable mais toi pas vraiment … j'ai de quoi t'aider si tu veux bien me laisser faire. »

Je sortais mon attirail de médecin sorcière de par est d'autre de mes habits recueillant une bande tissé, dans une verrine de cuisine ce trouvais une pâte de aigremoine qui avait des propriété médicinale d'anti-inflammatoire si ça blessure ça ferrais sûrement pas des miracles mais au moins la douleur s’atténuera progressivement. J'avais aussi des plante de menthe poivré a mâcher et a appliquer sur les blessures et partie douloureuse qui servait a anesthésier ; rien de bien sorcier mais si on est réticent a ce genre d'être accepter de ce faire soigné par des plantes magiques médicinale n'allait pas être de tout repos et j’étais presque sur que Alex ne me dirait pas oui en premier lieux. J'avais encore sur moi plein d'autre petite fiole de liquide diverses accrocher a un genre de « jarretière », parmi elle j'avais toute sorte de de-coctions du genre aveuglante, de verveine etc mais j'avais rien de bien utile après avoir observer l'objet qui entourait ma cuisse.
Je relevais ma tête vers Alex et planta mon regard dans le sien de façon persuasive. Je voulais vraiment qu'il accepte mon aide et faire de mon possible pour apaiser ses maux au moins le temps que nous rejoignions le refuge. Je continuer de le fixé de mon regard émeraude tandis que maladroitement il se redresser pour récupérais des objets que j'avais du mal a identifier au sol, j'avais mal pour lui de le voir dans un aussi mal état. Me tendant la main je croisais les bras contre ma poitrine et tournant le regard vers le feu mimant une mine boudeuse.
    « Laisse moi te soigné s'il te plait »
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MessageSujet: Re: {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell } La nuit, tous les ivrognes sont gris... {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell  }   La nuit, tous les ivrognes sont gris... EmptyDim 20 Mai - 21:43

J’avançais le plus doucement possible vers le talus où reposait mon haut et me penchai tant bien que mal pour le récupérer. J’imaginais déjà la voix d’Aria, gloussant face à ma blessure. Je ne doutais pas de sa future inquiétude, mais elle profiterait de ce problème pour me rappeler mes propres duperies à coup de sang de vampire. Enfin pour la peine, je le méritais, quelle idée de combattre a moitié à poil, presque aussi stupide que la belle près du feu quand elle se sent pousser des ailes pour sauver un steak haché de l’abattoir. Je me retournai pour voir la belle jouer avec des fioles et autres trucs, en sortant d’autres d’une sorte de dentelle sexy d’où pendait des remèdes de grand-mère. Mon regard ne pouvait se retenir d’imaginer ce que cachait la petite robe. Alors que les flammes dansaient sur sa silhouette. J’inspirai puissamment et cachai une nouvelle grimace avant de m’avancer, repoussant toute idée mal venue. J’allai m’assoir près d’elle et regardai un à un tout ce qu’elle avait sorti de ses cachets, me demandant ce que son soutien-gorge pouvez encore contenir.

Une image me tapa à l’esprit, m’imaginant coller des fioles dans mon caleçon. Non mais sérieusement les femmes ont des ressources qui peuvent déstabiliser le plus fort et malin des hommes. Visiblement je n’avais donc pas à faire à une gamine sans ingéniosité. Après qu’elle eut préparé je ne sais quelle pâte elle se mit à sortir une bande.

Sa mixture avait tout du gâteau de boue et mon regard devait visiblement être noir comme l’ébène face à la réaction de la belle. Elle plaça alors ses jambes contre sa poitrine me fixant d’un regard divinement enfantin.

Non mais avait-elle seulement conscience de ce quelle voulait, elle m’aurait demandé de lui chanter au clair de la lune ou faire la danse du ventre une plume dans le cul, j’aurai mieux compris. Bon elle avait un charme certain, nos petits échanges bien que pour éviter de finir en tartare furent plus qu’agréables et j’aurai remis le couvert avec plaisir. J’allais tout de même pas lui servir d’expérience, je préférais me retrouver avec un trou qu’avec des plumes à la place des poils. Non mais les images défilaient en moi, les expériences ratées de sorciers, j’en avais à revendre et bien que peu vaniteux, même si je jouais la plus part du temps les cons, je ne savais pas comment lui avouer que ces tours de passe-passe n’allaient pas finir sur mon cuir.

« Laisse-moi te soigner s'il te plait »

« Non mais tes sérieuse, là ? » Je regardai mon ventre puis son visage faisant le trajet plusieurs fois avant de me décider à reprendre la parole. « T’as déjà pausé tes pâtes à sel sur quelqu’un enfin … de vivant ? Ou plutôt d’humain ? Enfin sans te manquer de respect, mis à par ton chat, ton poisson rouge ou je ne sais quel animal de compagnie si tu préfères ? »

Pris soudainement de culpabilité à cause de son regard, à cause de son innocence ou de ce désir con qu’elle s’amusait sans doute à faire naitre en ce moment. Ou alors j’étais un pervers et liais mort avec sexe et sexe avec jeu. Bon il devait y avoir un savant mélange de tout ce bordel, mais toujours est-il que j’allais pas me laisser badigeonner sans conditions.

Ma main glissait alors sur son menton tandis que mes iris plongèrent alors dans les siens. Me lançant dans ce même petit jeu.

« Tu me badigeonne à deux conditions… » Mes lèvres approchaient des siennes doucement, laissant sous-entendre que c’était un baiser que je voulais. Mon regard ne lâchait pas le siens alors que ma main relevait son visage au niveau du miens, je me stoppai à quelques centimètres de son visage.

Voila près d’une heure qu’on jouait les amoureux dans les bois, enfin jouer un moment, mais ne nous étions nous pas pris trop au sérieux dans nos rôles ?

Non je ne pense pas, je pense simplement que la miss en face de moi se délectait à présent de la situation, ou alors elle était aussi pure et simple qu’Aria l’avait décrite. Toujours est-il que les questions se bousculaient dans mon crâne alors que je fixais ses iris cherchant à dénouer le vrai du faux en elle en vain.

« Tu m’accompagnes jusqu'à la cabane et là je te laisse me faire tout ce que tu voudras, même ce que ton esprit ne voudrait pas imaginer, ensuite si on s’en sort entier, tu tiens ta première promesse, et là ok, évidement si tu me mens, on ne sera plus aussi … » j’avançai un peu plus sans jamais toucher sa bouche « proches ! »

Je pouvais sentir sa respiration, j’aurai même juré que je pouvais écouter son cœur taper si fort que le sol vibrait sous ses palpitations. Non mais sérieusement comment une sorcière aussi délicieuse pouvait sembler être aussi vulnérable ?
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MessageSujet: Re: {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell } La nuit, tous les ivrognes sont gris... {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell  }   La nuit, tous les ivrognes sont gris... EmptyLun 21 Mai - 11:24

Alex Ҩ Tabatha
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J'avais enfin finit de dévoilé mes « armes » si je puis-je appeler ça comme ça. Contrairement à Alex moi c’était pas des pieux et des lames que j'avais de cacher dans mes poches. Bon j'ai une lime a ongles cacher dans ma botte arrière gauche mais ça c'est pour mon combat personnelle avec mes ongles ; oui ne croyez pas que y a que les vampire qui me font peur, un petit bout d'ongle pointue qui vous fait mal est aussi agaçante que c'est petite bête sanguinaire. Depuis que je savais que j'étais une sorcière, j’apprenais beaucoup notamment a contrôler mes don mais je n'étais pas encore aussi douée que Katniss ma meilleure amie ou même les autres membres de mon cercles. A deux je pouvais bien me débrouiller mais justement on est deux ! Mais seule je suis une vrais petite catastrophe sur patte bien que depuis je me suis amélioré maintenant c'est rare que tout autour de moi brûle ou explose mais ça arrive quand même. Mais j'ai énormément de raté que de réussite au compteur croyez moi. Comme le jour ou j'ai décidé de cuire des cookies maison à l'aide de la magie, avec mon père on a passer une semaine a enlever la pâte qui avait incruster les murs et tout recoins mais il croit en moi et m’incite a persévérais car il sait que je deviendrais aussi douée que ma mère.
Mais ce en quoi je suis la plus douée de notre cercle, c'est tout ce qui touche de prêt ou de loin a nos potions. Je connais les plantes aussi bien que mes recette de cuisine, je sais quel plantes peut vous tuer avec lenteur celles qui au contraire va vous tuer sur le coup. Je connais celles qui peuvent vous aidé a dormir, a passer les maux de ventre et toute les autres, d'ailleurs grâce a ça a présent je soigne tout et tout mon entourage qui connaît mon identité par la plante c'est un peu comme l'homéopathie mais en plus magique avec chaudron et fumé partout. Mon père d'ailleurs été mon joyeux cobaye, sa confiance aveugle en moi me permet de tester avec réussite mes remèdes sur lui ; bon certes a chaque foi que j’essaie j'ai toujours peur d'aggraver le tout jusqu'à que mort s'en suive, mais il n'y a jamais eu d'effet controverse et mon père et toujours en pleine santé et en vie ! Moi même je tester c'est produit, pour vous montré a quel point je suis sur de moi ; et puis je pars du principe que la réalisation de mes fioles sont comme la cuisine donc je suis bonne voir même très bonne cuisinière c'est pas les clients du B'WELL coffee, notre café familiale a moi et a mon père qui vont vous dire le contraire. Mes gâteaux et tout mes plats sont le bonheur de nos clients et ils en redemande et mon père est heureux de voir a quel point notre café n'a jamais eu de faillite grâce a la bonne humeur qu'il s'y crée. Alors ci mes gâteaux font des heureux, mes potions et pâte magique vont faire des « survivants » et comme dirait Joanne Harris ; « il y a un élément de sorcellerie dans toutes préparation culinaire : dans le choix des ingrédients, dans le processus consistant à mélanger, à râper, à faire fondre, à infuser et à aromatiser, dans ces recettes empruntées à des ouvrages anciens, dans ses ustensiles traditionnels. » Alors la sorcellerie c'est tout bonnement de la cuisine mais un peu plus élaboré.

C'est vrais que a première vus mes mixtures ne sont pas les choses les plus appétissante du monde. Les couleurs sont plutôt digne de bouse de vache ou de tat de boue, mais ce qui est laid n'est pas forcement nocif comme ce qui est beau et sens bon n'est pas forcement délicieux. Vous avez déjà sentis des épinards ? Ça pue et pourtant c'est délicieux dans des lasagne et tout.
Je regardais Alex, son regard été noir suite a ma réaction d'enfant lorsque je lui avait demander une première foi de me laisser faire. C'est vrais que je voulais le persuadé de me laisser faire, pourquoi ? Parce que je savais que je lui ferrais beaucoup plus de bien que c'est blessure qui doivent le faire souffrir intensément a la vus des grimace qui se dessine a chacun de ses mouvements. Posant ma tête sur mes genoux et tenant les côtés de ma robe sous mes cuisses pour dissimulé ma petite culotte, je bouge mes pieds de gauche a droite en papillonnant des yeux pour le charmé histoire qu'il accepte. Je sais c'est mal d'user de son charme pour venir a ses fin mais je n'allais pas le laisser agonissant donc j'use de mon jolie minois de façon honnête. Je lui souriais de toute mes dents, continuant de le regarder avec insistance. De m'avoir sauver j'avais une reconnaissance envers lui … et puis notre mascarade, elle ne m'avait pas déplus pour être honnête. J'avais adoré sentir le contacte de ses lèvres dans ma nuque, sa peau chaude contre moi et ses lèvres au coin des miennes … je l'avoue j'avais succombé a un charme que je n'aurais jamais douter et d'y repenser je sentais mes bras et tout mon corps ce parcourir de frisson et autre picotement. J'avais envie de revivre ça, c'est égoïste, parce que de son côté tout ça devait qu'être un plan mais du mien ça l'était aussi, enfin je crois. Un sourire béat sur mon visage en repensant au moment ou il m'avait prit dans ses bras et que j'avais nicher ma tête tout contre sa nuque … repartant dans mes penser, sa voix m'extirpa de celle ci en sursautant.
    « Non mais tes sérieuse, là? »

Si je suis sérieuse ? Quand la vie de quelqu'un est en périls je ne peu qu’être sérieuse. Bon quand on regarde comment j'ai eu l'idée d'aller sauver une fille qui n'est même pas mon amie des griffes de vampire c'est vrais que c'est pas sérieux. Mais c'est une vie et quand j'ai eu l'envie de la sauver j'étais sérieuse même si là je regrette … quoi que je regrette surtout de ne pas être arrivé a la sauver comme je l'aurais voulut. Mais elle aurait elle bien voulut me suivre ? Elle avait déjà subis de nombreuses morsures, j'aurais sûrement du l’assommé pour l'emmener avec moi ; c'est a présent que je réalise que c'était une vrais mission suicide … et j'aurais pus mourir si Alex n'était pas là. Je lui dois tout, une reconnaissance éternelle ? Peut être pas jusqu'à la mais au moins un service ou deux. Il me regardait, regardait ça plaît et puis moi a nouveau, ça plaît béante n'était vraiment pas jolie jolie et avec mes quelques soins elle serait sûrement plus propre quand il faudrait lui administré des soins a la hauteur. Je ne dis pas que je peu faire des miracles, mais je peu au moins le soulager, réduire légèrement l'entaille sans pour autant la cicatriser en une foi parce que il me faudrait sûrement plus qu'une a deux petite fiole.
    « T’as déjà pausé tes pâtes à sel sur quelqu’un enfin … de vivant ? Ou plutôt d’humain ? Enfin sans te manquer de respect, mis à par ton chat, ton poisson rouge ou je ne sais quel animal de compagnie si tu préfères ? »
    « Bah non, pour le moment je teste que sur mes peluches ... » Dis-je en ricanant comme une sorcière méchante des dessins animé. « Mais non ne t'en fais pas, mon père a déjà tester une grande partie de mes remèdes et il est encore en vie et en plus de ça en parfaite santé alors tu peu me faire confiance. »

C'est doucement que nos regarde se croisent de nouveau et se plonge l'un dans l'eau comme plusieurs foi depuis qu'il m'ait sauver. Je commençais énormément a apprécier son regard dans le mien, comme son regard posé sur moi. Sa main c’était glisser sous mon menton, et j'appréciais ce geste de douceur. Un léger sourire vint ce dessiner sur mes lèvres, mon regard perdu dans ses iris j'étais comme envoûté comme un marin perdu au milieu d'un océan et attaquer par une sirène au chant envoûtant.
    « Tu me badigeonne à deux conditions ... »

Deux conditions ? Voilà qui devient un peu … comment dire inégale ? Deux conditions pour un badigeonnage sachant que je lui devais déjà un rendez vous. Bon après tout je n'ai rien a perde il ma sauver la vie et j'étais bien curieuse de savoir ce qu'allait être c'est deux conditions … tant qu'il me proposé pas d'être sa coéquipière de chasse au vampire tout n’irait, enfin tout …. Doucement ses lèvres s'approchaient des miennes, mon regard toujours sous l’emprise du sien … êtes-ce ça sa première condition, un baiser ?
Depuis tout à l'heure nous jouons le rôle des tourtereaux, le jeu continuait il ou était il devenue plus qu'un jeu ? Son visage été a quelque centimètre du mien te je pouvais sentir sa respiration sur mes lèvres, déglutissant doucement mes yeux se fronce doucement. Y avait il un piège ? Une façon pour lui de voir si je ne m'étais pas éprise de la situation ? Je n'étais pas insensible au charme du bel homme je dois bien l'avouer, nos actes de tendresse pour nos spectateur m'avait fortement plus je dois bien être franche … mais je ne voulais pas succombé si rapidement, même si mon cœur hurlant m’incite a me jeter sur ses lèvres soit par envie ou alors parce que je voulais au plus vite lui administré mes soins ?
    « Tu m’accompagnes jusqu'à la cabane et là je te laisse me faire tout ce que tu voudras, même ce que ton esprit ne voudrait pas imaginer, ensuite si on s’en sort entier, tu tiens ta première promesse, et là ok, évidement si tu me mens, on ne sera plus aussi … » Il s'avance un peu plus de mon visage mais avec encore quelque centimètre qui sépare ma bouche de la sienne. « proches ! »

Bien sur que j’accepte de l'accompagné à la cabane, je n'allais pas le laisser partir seule et surtout je n'allais pas le laisser m'abandonner la toute seule, j'aurais trop peur pour ça. Je hoche un petit moi et doucement je romps les centimètre qui nous sépare et mes lèvres vinrent ce collé a celle d'Alex, mes yeux se ferment et mes bras s'entoure autour de sa nuque. Je ne sais pas combien de temps notre baiser aura duré mais visiblement d'après ce que j'avais compris c'était ça première condition … et si j'avais mal compris c’était surtout parce que mon cœur le voulait. Celui-ci palpitant a une allure folle j'avais peur qu'il se décroche face a tant d'agitation. Doucement je recule mon visage du sien et baisse mon regard au sol par peur de voir la réaction d'Alex.
    « Je t'accompagne ou tu veux, je fais ce que tu veux et je tiendrais ma promesse car je suis une fille de parole. » Toujours mon regard poser sur le sol je regardais les effets que les flammes lumineuse provoquait « J'ai une dette envers toi … mais moi aussi j'ai des conditions ; je veux que tu me laisse te soigné … et que tu ne me fasse pas de mal »

Je relève mon regard timidement vers Alex.
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MessageSujet: Re: {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell } La nuit, tous les ivrognes sont gris... {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell  }   La nuit, tous les ivrognes sont gris... EmptyMer 23 Mai - 13:20

Un cœur peut-il battre quand il semblait être mort ? Un corps peut-il se consumer dans la tourmente de l’hiver ?

Je jouais à un jeu dangereux et n’en avais surement pas pris la mesure jusque là. Cette jeune femme avait sans nul doute le courage et la force que beaucoup auraient souhaité trouver dans l’adversité. J’avais stoppé mon visage à quelques centimètres du siens. Jamais je n’aurai mis ma main au feu sur son geste. Si l’on m’avait demandé de prédire ce qui suivrait, j’aurais dit simplement : Pas grand-chose. Il est vrai que j’avais misé sur mon charme pour la sauver et mieux la connaitre, l’étudier et m’assurer qu’elle ne travaillait pas pour Drew, qu’elle ne soit pas une faiblesse dangereuse pour Aria, en revanche, le point sur lequel je n’aurais pas misé c’est quelle serait aussi touchante.
Dans un geste lent, quasiment tendre, ses lèvres vinrent caresser les miennes, son baiser fragile et brulant, caressa ma bouche et m’électrisa. Comment une telle fusion de passion, de douceur, pouvait être contenue en elle ? Chaque mouvement de sa bouche brulait la froideur de ma peau, alors que je lui rendais prudemment son échange. Lui laissant le loisir de fuir l’étreinte comme la luxure de la prolonger. Son baiser pourtant ne semblait pas aussi chaste que j’aurai pu l’imaginer dans mon esprit. Sa bouche jouait de chaque mouvement échangé alors que je retirais doucement ma main de son menton pour lui rendre sa totale liberté.

Etais-je aussi stupide ? Avais-je jugé le produit à son emballage ? En effet j’aurai juré avoir à faire à une prude jeune femme, alors que le baiser qui s’achevait laissait paraitre toute l’envergure de la passion qui l’animait.

« Je t'accompagne où tu veux, je fais ce que tu veux et je tiendrais ma promesse car je suis une fille de parole. »

Son regard se fixait sur le sol alors que ses mots en parfaite contradiction s’enchainaient, me laissant presque sous-entendre des choses contre la simple autorisation d’un badigeonnage.

« J'ai une dette envers toi … mais moi aussi j'ai des conditions, je veux que tu me laisses te soigner … et que tu ne me fasses pas de mal »

Je retiens un sourire face à ses conditions, je venais de risquer ma vie pour éviter justement qu’elle ne souffre, enfin éviter surtout Aria en souffre ou Kat et voila qu’elle me demander de le … c’est alors que toutes mes pensées se mirent à converger. Non mais c’est pas du tout ce qu’elle voulait dire, là. L’image de couple, d’amour et toutes ces complications commencèrent à apparaitre dans mon esprit tordu. Voulait-elle parler de cela ? Non, impossible, pas après un baiser, un jeu de dupe pour vampire affamé ? Etait-elle aussi romantique qu’elle pouvait déjà sentir naitre des sentiments pour moi ? Ma cousine lui avait-elle seulement dit à quel point je pouvais être un crétin ? Ou mon jeu de con était-il aussi flagrant que nul n’y croyait ? Je repensai aussitôt à la veille, à la façon que j’avais de traiter Lexi. Bizarrement, je ne l’imaginais pas m’appeler pour un plan cul et me mentir pour cela. Je craignais plus que ce soit un autre problème entre nous. Enfin nous n’en étions pas là, et pour la faire souffrir il fallait que le simple rendez-vous demandé se mute en autre activité.

Après un moment de silence, je me redressai non sans mal et lui attrapai les hanches pour la coller sur ses pieds. Je m’avançai vers mon tee-shirt et l’enfilai malgré le sang qui recouvrait une bonne partie de mon ventre abdominal. Sans grande surprise, le tissu s’imbiba et se colla à la plaie. C’est Aria qui allait hurler de voir l’état du vêtement quelle m’avait acheté peu de jours auparavant. En pensant à elle, je me rappelai aussitôt de ma colère face à sa morsure et à la mesure que ce bobo avais pris. Sans m’en rendre compte je me mordis les lèvres, sachant que trop bien que j’allais rapidement me prendre un retour de manivelle.

« Puisque les conditions semblent établies, allons nous coucher et nous amuser avec un bain de boue romantique » je lui tendis la main armée d’un largue sourire.

Non mais où avais-je foutu mon cul ? Sérieusement, étais-je en train de faire la cour à une jeune femme dont je ne connaissais le profil que via des enquêtes cachées et plus que sommaires. Bon c’est sur, je savais déjà son gout pour les gourmandises, les films romantique, les sorties magasin ou que sa carte semblait assumer difficilement la digestion des additions. Sa meilleure ami me prenait déjà pour un grand frère protecteur envoyé par sa mère d’outre tombe et sa confidente était ma cousine. J’aurai du surement fuir face à sa dernière requête mais au lieu de cela je lui tendais la main et l’invitais à continuer à croire qu’un nous deviendrait jouable après quelques rendez-vous. Mais alors que sa main se fondait dans la mienne pour une balade nocturne dans les bois au beau milieu de nul-part et en pleine nuit, je cherchai comment j’allais m’en sortir sans la blesser au final, d’autant que mon caractère était des plus variables.

Après quelques minutes de silence, de grimaces dues à l’effort et à cette foutu plaie qui ne voulait pas s’arrêter de saigner. Je stoppai la marche pour tenter de reprendre un peu mon souffle.

« je sais pas ce qu’Aria a pu te dire sur moi, mais sache que mon caractère de merde va pas être des plus compliqués pour toi à supporter, enfin pour ce qui est de pas te faire de mal, si aucun vampire nous suit, ça doit être jouable pour la nuit du moins »
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MessageSujet: Re: {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell } La nuit, tous les ivrognes sont gris... {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell  }   La nuit, tous les ivrognes sont gris... EmptyLun 11 Juin - 10:12

Alex Ҩ Tabatha
" La nuit, tous les ivrognes sont gris... "


J'avais imposer moi aussi des conditions, celle de le laisser le soignée sans emmètre de doute en mes connaissances ou même mes dons. Mais aussi celle de ne pas me faire de mal … regrettais légèrement cette condition ; pourquoi ? Pour ce qu'a présent il devait penser de moi ; que je suis une fille trop « facile » qui en deux ou trois câlins et un baiser elle craque … Je ne suis pas totalement ce genre a vrais dire. C'est vrais que quand on sait jouer de son charme sur moi je suis comme un serpent envoûté hors de mon panier d'osier ; je n'est pas de confiance en moi ni en l'amour véritable car je ne l'ai jamais vus ni ressentie. En chaque homme qui devient trop gentil avec moi, j'aimerais être au plus proche de lui pour savoir si je ressens de l'amour ; regarder avec Nathanaël r. Wakefield j'étais sûrement amoureuse de lui pour l'aimé du collège au lycée sans jamais avoir d'amour en retour juste du mépris et de l'arrogance et pourtant je rester en bonne poire a ça « merci » attendant l'opportunité qu'il s'en rende compte un jour. Et puis il y a Jayden, mon ami d'Irlande, que je connais depuis l'enfance. Avec lui nous avons un lien tellement fusionnelle que je crois en l'amour avec lui mais que devait être que de l'amitié très très proche ou je ne sais pas. Je suis accrocher a lui, possessive mais maintenant il a une copine et ce n'est pas moi.
L'amour c'est une toile d’araignée et moi je suis l'insecte au centre qui est prête a ce faire dévoré. J'ai maintenant dix-neuf ans et je n'ai jamais rencontré le véritable amour qui vous faire partir dans les cieux, non moi j'ai connus l'amour péché qu'on obtiens a trop chercher le véritable a ce lancer dans des jeu dangereux. Comme ce soir, notre jeu des tourteaux a fait naître en moi ce sentiments que j'ai a chaque foi que j'ai le béguin pour un garçon. Je suis trop romantique, fleur bleu et tout ce que vous pouvez croire. Y a sûrement pas de doute mon cœur essaie de ce raccrocher tant bien que mal au cœur de l'opposé pour y trouvé douceur et tendresse et je crois que celui d'Alex est la prochaine cible … c'est pour cela que je ne veux pas qu'il me fasse du mal ; je voudrais qu'il me dise clairement que ce n'est qu'un jeu et que mon cœur ne s'emballe pas jusqu'à en souffrir comme toujours.

Un long moment de silence c'était installer, j'écoutais le crépitement du feu et regardait les flammes dansées. C'était magnifique, j'aurais aimé être une chose aussi simple que ça. Une personne normal sans pouvoir magique et ne rien savoir du monde là ; j'aimais bien être une sorcière mais dé foi j'ai l'impression que c'est une frein a tout. Les gens connaisse trop de chose « mal » qu'on est juger comme des monstres et qu'il faut nous cacher.
Alex se redressant en m'attrapant les hanches pour que j'en fasse de même pour me retrouver debout sur ses pieds. Je passe la main sur mes vêtements afin d'enlever toute trace de terre et autre résidu de mes affaires, recoiffe ma chevelure épaisse a la va vite en la secouant dans tout les sens et la rebalaçant en arrière. Hop la, simple et rapide mais au moins je suis un peu plus présentable qu'il y a quelque minutes avec des vieilles feuilles mortes dans les cheveux et des résidus de terre sur ma robe.
    « Puisque les conditions semblent établies, allons nous coucher et nous amuser avec un bain de boue romantique »

Me dit il en me tendant ça main et un large sourire dessiner sur son visage, c'est doucement que je la prise en lui répondant a son sourire. Un bain de boue romantique ? C'est assez étrange, j'avais déjà barboté dans la boue une foi ; c'était pas vraiment par envie enfaîte. Quand je suis aller chez ma grand mère en Irlande je suis tomber dans la marre de boue de ses cochons, je glissais tellement que j'étais incapable de me relever et après ça je sentais mauvais mais l'avantage c'est que j'avais la peaux douce.
Nous marchions en silence, tandis que je regardais la lune qui dansait derrière les arbres a chacun de nos pat j'étais prise dans la contemplation de cette chose magnifique. Les ballades nocturnes j'aime beaucoup cela, j'en fais beaucoup quand je vais voir la tombe de ma mère au cimetière. En générale, j'y vais la nuit parce que au moins je sais que j'ai la solitude que je veux, j'ai ma lampe torche et des livres comme ça je peu faire la lecture a ma mère parce qu'elle adorait ça. Et me promener la, en pleine nuit malgré ce qui été arrivé y a pas longtemps avec nos suiveurs suceurs de sang je me sentais rassuré. Je continuais d'avancer quand je remarque que Alex avait fait une pause, sa plais saigné toujours et il avait l'air de souffrir le martyre. Je me sentais mal pour lui, son tee-shirt couvert de sang … je grimace.
    « je sais pas ce qu’Aria a pu te dire sur moi, mais sache que mon caractère de merde va pas être des plus compliqués pour toi à supporter, enfin pour ce qui est de pas te faire de mal, si aucun vampire nous suit, ça doit être jouable pour la nuit du moins »

En guise de première réponse je suis adresse un sourire, glissant ma main dans ma botte une fiole ; pas la bonne. Dans l'autre côté je tombe sur une fiole écrite ; feuilles et tige de prêle. Le liquide d'une légère couleur jaunâtre est enfaîte un jus a appliquer sur les blessure infecter, qui sert aussi a arrêter totalement les hémorragies. Si il veux arrivé vivant a un refuge il faut qu'il me laisse faire.
    « Oh tu sais, Aria a pu me dire des choses mais je me fie qu'a ma propres opinion. Mais si tu veux vraiment savoir, elle ma dit : que tu été un chieur mais tu es très protecteur. De fois tu n'est pas très gentil mais que quand tu veux tu peu te montrer très adorable et que même si tu es un « connard » elle t'aime bien.
    Es-ce que je peu t'appliquer ce produit ? Ça te ferra du bien, sa calme l'infection et sa arrête hémorragie. Ça ferra l'affaire jusqu'à qu'on se trouve un endroit tranquille. Si tu veux je m'entaille le doigt pour te prouver que mon produit est efficace et que tu n'as rien a craindre. Je te veux que tu bien, je suis pas du mauvais côtés.
     »

Je sors d'une des poches de ma robe une compresse stérile et une bande. J'avais tout prévus mine de rien, je m'avance vers lui attendant ça réponse.
    « et toi qu'es ce que tu sais de moi? »
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MessageSujet: Re: {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell } La nuit, tous les ivrognes sont gris... {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell  }   La nuit, tous les ivrognes sont gris... EmptyMar 12 Juin - 13:14

Quand la vie ne vous fait aucun cadeau, qu’elle s’évertue à faire de vous un animal. Un homme sans foi, sans loi, sans remord, vous finissez par le laisser paraitre pour ne plus faire de votre humanité qu’une part de faiblesse facilement utilisable. J’avais du me forger une carapace que j’avais bien du mal à présent à laisser fondre quand il le fallait. Les gestes naturels d’affection étaient devenus au fil du temps une véritable épreuve de force intérieure. J’avais bien de la difficulté à laisser parler cette part que j’avais mis des années à cacher. Evidement tout a une cause et la mienne reposait à présent six pieds sous terre aux côtés de ma mère. Je ne pouvais regretter ce que je n’avais jamais connu. J’avais juste appris à avancer dans ce monde comme tous les autres enfants, ados ou adultes. Chez moi la violence allait avec l’alcool. Je cherchais mentalement ce qu’elle avait tenté de me dire pour ne pas la faire souffrir. Comment faire du mal a une personne qu’on ne connaît pas ?

J’avais du me stopper pour reprendre mon souffle. Visiblement ma plaie était plus importante qu’elle ne me laissait penser. Bon j’avoue que je ne m’étais pas attardé à l’examiner. J’y avais d’ailleurs juste lancé un regard furtif avant de tenter de l’oublié en la recouvrant de mon tee-shirt. Mais voila … Seulement cinq minutes et je me sentais déjà vaseux comme si j’avais tenté de monter l’Everest sans m’arrêter.

Je m’adossai donc au premier tronc libre tout en pausent mes deux mains sur mes genoux. Sans vraiment prendre attention à son regard. Jouer les mâles endurcis c’est bien, mais dans certaines circonstances c’est limite débile. J’entendais déjà mon père me hurler aux oreilles, que j’étais un faible, un bon à rien, que le jour où il m’avait conçu il avait surement commit sa plus belle erreur. Bref en somme je n’étais qu’une pure déception. Et cela il me l’avait hurlé à chaque faiblesse apparente. Doucement la colère me prenait et je la repoussais par de petites inspirations saccadés. Orientant mon attention sur de meilleurs souvenirs que ceux d’un père violant à souhait.

« Oh tu sais, Aria a pu me dire des choses mais je me fis qu'à ma propre opinion. Mais si tu veux vraiment savoir, elle m’a dit : que tu étais un chieur mais tu es très protecteur. Des fois tu n’es pas très gentil mais que quand tu veux tu peux te montrer très adorable et que même si tu es un « connard » elle t'aime bien. »

Un sourire traversa mon visage. J’avais au moins l’avantage nocturne pour simuler les grimaces. Alors que je la toisais passant sa main d’une poche à l’autre d’un revers à un ourlet. Sortant une panoplie de fioles d’endroits où je n’aurais même pas imaginé jouable de les placer. *C’est pire que Lara Croft cette nana…* Songeais-je avant de la voir s’avancer comme un animal prudent devant un fauve près à attaquer. « Est-ce que je peux t'appliquer ce produit ? Ça te fera du bien, ça calme l'infection et ça arrête l’hémorragie. Ça fera l'affaire jusqu'à qu'on se trouve un endroit tranquille. Si tu veux je m'entaille le doigt pour te prouver que mon produit est efficace et que tu n'as rien à craindre. Je te veux que tu bien, je ne suis pas du mauvais côté. »

Je me redressai alors doucement, hésitant un instant, mais je n’allais tout de même pas la laisser se découper pour jouer les démonstratrices.

« Tu me fais promettre de ne te faire aucun mal et je devrais te laisser te couper le doigt pour me montrer que ton bidule ne va pas me changer en lézard ? » doucement ma main glissa sur sa joue. « Ecoutes, passe moi ton machin bizarre, oublie la démo et tentons d’arriver tout les deux en un seul morceau dans cette cabane »

J’abandonnai ma caresse pour soulever mon haut. Et profitai du moment pour regarder le ciel. La lune semblait presque pleine, et sur le moment je me réjouis d’avoir pas eu à faire aux loups en plus des sangsues. Une nuit de plus et nous aurions du jouer les steaks en plus des boudins à vampires.

Le vent me fit grimacer, la fraicheur sur la plaie n’avait rien d’agréable et j’espérais que son machin soit rapide à appliquer. Bizarrement la grimace se muta en sourire quand je songeais à l’absurdité du moment. Je m’étais mis à poil pour la sauver, revêtu pour arrêter le spectacle et voila qu’elle me refaisait me dénuder. A croire que la séance naturiste n’avait pas suffit à la distraire. Bon je retiens tout commentaire, après la révélation du connard de service de ma cousine, je n’avais pas en plus à affirmer ses dires par une ânerie que je ne pensais pas réellement.

« Et toi qu'est-ce que tu sais de moi? »

Je plantai mon regard dans le siens, ne cherchant même pas mes mots après tout quitte à être un conard, j’avais envie de lui démontrer que ma cousine pouvait elle aussi l’être, aussi tranchante avec les autres.

« Mis à part que tu va changer mon torse en patté de boue ?» Mon regard suivait ses gestes, à la fois calme et dubitatif. « Bon ok plus sérieusement, je sais juste que tu comptes assez pour qu’elle pense que tu ne sois pas dangereuse, mais j’en dis pas tant de ta meilleure amie. »

Je la laissai donc à son œuvre. Tendant l’oreille discrètement au moindre craquement, me figeant dans diverses possibilités face à certains bruits, avant de déduire que ces derniers n’étaient rien de plus que des animaux nocturnes.

« Alors docteur vais-je survivre à ma nuit à vos côtés ? Ça serait ennuyeux de ne pouvoir profiter de mon rendez-vous. »

Après un long silence, et plusieurs grimaces cachées je recouvrais enfin mes abdominaux de mon tee-shirt attrapant sa main pour reprendre la marche.

« Plus que huit cent mètres de pente et on sera bien au chaud. »

Dans un silence royal je l’entrainais vers le haut de la colline où déjà se dessinait l’ombre en bois du gite. Après avoir fait quelques détours pour éviter les faussés, les ronces et autres obstacles. Nous mîmes enfin les pieds sur un vieux plancher fatigué et grinçant. Je me décidai alors à lui relâcher la main pour me saisir de la lampe à huile que j’allumai avec mon zippo avant de pousser le loquet de la porte. Une odeur de menthe et de verveine parfumait l’air.

« Si madame veut bien … » Machinalement je mimai une révérence l’invitant à entrer. Je connaissais déjà les lieux pour y avoir passé plus d’une nuit. Sobre, simplement armé d’une cheminée et d’un mobilier datant sans doute de la fin du dix-neuvième. Je n’avais jamais pris place dans le lit en fer grinçant, la simple fois où je m’en étais approché, j’avais délaissé ce dernier bien trop bruyant avec ses ressorts rouillés. « C’est vétuste mais ça devrait nous permettre d’être au chaud »
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MessageSujet: Re: {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell } La nuit, tous les ivrognes sont gris... {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell  }   La nuit, tous les ivrognes sont gris... EmptyMar 26 Juin - 11:18

Alex Ҩ Tabatha
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Je lui avais gentiment demandé l’accord pour pouvoir lui appliquer le contenue de ma fiole de feuille et tige de prêle afin de calmer son hémorragie et l’inflammation qui commençait à prendre une énormément ampleur sur ça plait. J’étais prête à tout même jusqu’à m’entailler pour qu’il ait la vie sauve et surtout qu’il arrête de souffrir. J’avais mal pour lui … et après tout-il été blesser à cause de moi, pour avoir eu la gentillesse de m’avoir sauvé des suceurs de sang malsains, alors je lui devais bien quelque soin. Et même si cela est de la sorcellerie ça n’en reste pas moins l’équivalent de l’homéopathie car je n’utilise que des plantes médicinales que nombreux médecins oublie dans leurs carrière. Avec ce que dame nature nous offre nous avons beaucoup plus de chance de combattre la maladie que le chimique qui nous tue à petit feu.
    « Tu me fais promettre de ne te faire aucun mal et je devrais te laisser te couper le doigt pour me montrer que ton bidule ne va pas me changer en lézard ? Ecoutes, passe-moi ton machin bizarre, oublie la démo et tentons d’arriver tous les deux en un seul morceau dans cette cabane »

Doucement ça main glissa sur ma joue, le contacte de ça peut légèrement fraiche me fessait frissonner du visage tandis qu’il abandonnait son geste je puis reprendre mes esprits alors qu’il soulevait son haut. Deuxième fois aujourd’hui qu’il ce dévêtait pour moi, mes joues prirent une teintes rosé mais mes lèvres prirent la grimace en voyant l’état de ça plait : ce n’était vraiment pas beau à regarder, elle boursouffler et rouge pratiquement écarlate. Il été temps qu’il me laisse lui appliquer mon remède.
Je sors de ma botte un deuxième bandage qui me servira à nettoyer la plaie avec la fiole remplie d’eau que je sors du fond de ma botte. Versant un peu du liquide cristallin sur la bande et sa plaie je tamponne avec doucement pour enlever le surplus de sang et y voire plus claire. Avec le restant je me lave les mains histoires de ne mettre le moins possible de cochonnerie dans son organisme en appliquant mon remède.
Je pris la seconde fiole, celle de feuille et tige de prêle. L’ouvrant je dépose un peu du liquide sur mes doigts que je glisse avec délicatesse sur la plaie chaude. J’avais mal, mais aussi j’avais peur de lui faire mal j’essayais de me faire des plus douce possible, n’osant pas lui jeter de regard pour le voir grimacer de douleur. Je pris un morceau de compresse que j’imbibe du produit et le dépose doucement sur la blessure et doucement je l’entour de la bande pour que tout soit maintenue au chaud et que ça soit en sécurité.
Il m’avait demandé ce qu’Aria m’avait dit sur lui, mais l’inverse m’intéresser subitement aussi. Oui je sais la curiosité est un vilain défaut, mais c’est tout moi ça ! J’adore être le vilain défaut. Je pose mon regard dans le sien avec tendresse après lui avoir demandé ce qu’il savait en retour sur moi. J’attendais ça réponse en finissant de l’enrobé de ma bande.
    « Mis à part que tu vas changer mon torse en patté de boue ? »
    « Tu sais quoi ? j’adorais faire des pâtés de boue quand j’étais petite, ça vient surement de là que j’adore tartiné des choses »

Dis-je sur un ton un peu amuser, bon c’est vrais que ma remarque été un peu débile mais bon ce n’était pas de ma faute, a vrais dire je suis un peu débile c’est à preuve avec ou tant pis
    « Bon ok plus sérieusement, je sais juste que tu comptes assez pour qu’elle pense que tu ne sois pas dangereuse, mais j’en dis pas tant de ta meilleure amie. »
    « J’irais pas me ventais en disant que ta cousine à raison … mais elle a pas tords. Je ne suis pas dangereuse, bon c’est vrais que je ne suis pas une sorcière très expérimenter, j’ai perdus ma mère trop tôt pour savoir ce qui m’arrive. Et loin de moi l’idée de me tourner vers le côté sombre de la chose. Si le destin en a voulu ainsi, ma personnalité n’est pas tel qu’une mouche je ne la blesserais jamais, je préfère aider mon prochain. Certes un jour je pourrais tuer mais c’est pour une bonne cause, sa sera plus pour défendre les gens que j’aime non contre eux. Après tu as libre de choix de me croire ou non, bien que je pense qu’au fond de toi tu me crois ai-je tort ? Sinon tu ne me laisserais pas te toucher pour te soigner et en plus tu ne m’aurais pas sauvé. »

Je lui adresse un sourire sincère, tandis que je finis de le bander. Tout ce que j’avais dit été vrais, loin de moi m’arriverais l’idée de m’en prendre à des gens qui ne font pas de mal. Et je ne suis pas non plus une machine à tuer, la preuve la première foi ou j’ai causé la perte de quelqu’un c’était ce soir, jamais je n’aurais crus que j’embrocherais un vampire de ma vie. A présent je me demandais si ma mère elle aussi avait déjà causé la perte de quelqu’un, mon père ne m’en parle pas vraiment et a vrais dire je n’ose pas demander ça en plein milieu du B’WELL ni même au milieu d’un repas, imaginer la scène « au faite papa, maman elle a souvent embroché des vampires ? » la classe non ? le sujet de la magie n’était pas exclue chez nous, mais il y avait des choses qui ne devait pas être énoncer. D’ailleurs je trouvais mon père très ouvert sur ce sujet, il me laissait utiliser des remèdes sur lui, utiliser la magie dans le sous-sol ou même dans la maison tant que l’on me voit pas.
    « Alors docteur vais-je survivre à ma nuit à vos côtés ? Ça serait ennuyeux de ne pouvoir profiter de mon rendez-vous. »
    « ] Ummh’, tout cela me laisse a réfléchir … Bien sûr que oui, vous aurez tout la nuit à mes côtés sans aucun soucis. Tu ressentira quelque picotement durant les prochaine cinq minutes mais rien de bien méchant pour un grand garçon pour toi, après tu ne ressentira plus rien comme si la blessure n’est plus là, mais elle y sera encore c’est juste l’effet anesthésiant, il faudra que je te change ton pansement demain quand nous seront en sureté, et je te préparerais une autre fiole et quand tu seras chez toi, tu changeras ton pansement deux jour après le nouveau et après tu n’auras plus de blessure la plaie se refermera d’elle-même. »

Un mince sourire sur mon visage, tandis qu’il remettait correctement son t-shirt. Je range mes fioles dans mes bottes, pour une fois j’avais pris tout l’artillerie de sureté, je suis fière de moi. Bon on dirais une vraie commando limite Lara Croft mais au moins je suis équiper. En plus je trouvais que la jarretière avait un petit effet classe, assez pinup non ?
Il pris ma main, et nous revoilà sur la route pour nous mettre à l’abri, mes jambes commençais à être fatiguer de faire la route. Mais je préférais avoir des fourmis dans les jambes que me faire dévorer par je ne sais qu’elle bête ignoble. Et puis j’avais eu mon cota d’assassinat pour cette nuit, j’avais qu’une hâte, être en sécurité et pouvoir me reposer.
    « Plus que huit cent mètres de pente et on sera bien au chaud. »

Au chaud, il avait prononcé des mots qui allaient faire mon bonheur. J’étais geler jusqu’à l’os et me mettre au chaud n’allait pas me faire de mal. Nous continuons d’avancer en silence à travers les bois esquivant tout genre d’obstacle et enfin je puis voir une petit cabane ce dessiner devant nous, c’était assez rustique mais je trouvais cela mignon du peu que je puis voir. Nos pieds touchèrent enfin le parquet grinçant, j’eu peur qu’il se dérobe sous notre poids. Tandis qu’il me relâche la main je pus faire un tour sur moi-même pour admirer les lieux, il allumait une lampe à l’huile avait d’ouvrir la porte de la petite demeure. Je m’approchais doucement de l’entré …
    « Si madame veut bien …»

Il imita une révérence, alors je pris le pli et répondis a cela en m’abaissant en retour avec un sourire amuse, la flamme de la lampe nous éclairais en plus de la lune. Et la couleur du feu lui donnait un certain charme.
    « Avec plaisir, je vous remercie »

Tandis que je me glissais à l’intérieure des lieux, je me glisse dans un petit coin de la pièce en regardant autour de moi. Les bras m’entourant pour me maintenir au chaud, j’étais légèrement tremblante, la nuit ce fessait de plus en plus fraiche même à l’intérieure de la bâtisse.
Il n’avait pas de superflu, mais je trouvais ça convenable pour un refuge. Ça me fessait penser à l’ancienne cabane que j’avais dans mon jardin quand j’étais petite. A vrais dire c’était une dépendance de la maison et j’adorais m’y cacher quand j’avais envie de pleurer la morte de ma mère parce qu’elle y passait son temps, c’est que maintenant que je comprends qu’elle s’en servait pour faire de la magie. Et quelques années plus tard elle s’est écrouler tellement la bâtisse été vieille et ce fut la fin de mon refuge.
    « C’est vétuste mais ça devrait nous permettre d’être au chaud »

Je répondis par un sourire, et doucement je vins me poser sur le lit. Les vieux ressorts ce mirent a grincer sous mon poids et mes yeux s’ouvrirent comme deux billes peur que tout s’écroule.
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MessageSujet: Re: {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell } La nuit, tous les ivrognes sont gris... {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell  }   La nuit, tous les ivrognes sont gris... EmptyDim 8 Juil - 22:58

J’avais le chic pour me retrouver dans des situations, non mais me voila comme le roi des cons dans un vieux chalet de chasse perdu à plus de six kilomètres de la première habitation, du moindre réseau téléphonique, ou simplement de la moindre oreille qui pourrait nous entendre si ce n’est celle de quelques cadavres sur pied encore capables de courir. Bref, le plus dur était fait pour elle, à présent à moi de tenir la longueur et de la sortir du mauvais pas où elle avait su se fourrer.

Je devais bien avouer qu’a première vue je m’étais collé le doigt dans l’œil, cette petite sorcière voulait visiblement faire le bien et en oubliait même que pour se faire il fallait déjà savoir resté en vie soi-même. Bon en la matière, ce soir je ne pouvais lui donner de grande leçon. Et je n’avais pas l’âme à jouer les papas poules pour lui remettre les idées en ordre. Après tout si elle devait en retenir une, de leçon, elle viendrait d’elle-même. Son visage pendant l’attaque avait parlé de lui-même. Elle n’avait jamais eut aussi peur et les cauchemars à venir allaient lui rappeler que les bois la nuit même pour sauver la veuve et l’orphelin n’étaient pas un lieu où on sortait avec des argans et des potions.

J’attrapai un tas de fagots et le plaçai dans l’âtre puis allumai le tout à l’aide de mon zippo. Alors que les lattes du lit sifflaient à s’en déboucher les oreilles. Un sourire poussa rapidement sur mes lèvres alors que je plaçai à présent le vieux chaudron sur la pique. Avant de récupérer un saut pour aller le remplir de l’eau de pluie.

Apres quelques pas je déposai sur la table tout mon armement récupérant simplement mon couteau avant de sortir. J’avais laissé le silence, non que je n’avais rien à dire ou que je voulais placer un froid. Mais plus car comme toute victime d’une telle soirée, je me doutais bien qu’elle avait besoin de temps pour replacer ses idées en ordre. Je puisai l’eau tout en tendant l’oreille au moindre bruit mais visiblement la nuit semblait enfin calme. Après quelques longues minutes, je revins sur mes pas et versai l’eau dans le chaudron qui frémit entre le contraste du chaud et froid. Puis retirai mon haut ensanglanté pour le lancer dans ce dernier.

« Dis, dans tout ton super attirail tu n’aurais pas une sorte de savon, pas que je sois maniaque mais c’est mon cadeau de noël et Aria va me faire la peau si je le laisse ainsi. » Dis-je tout pataud avant de venir prendre place à ses côtés. Evidemment le lit sonna l’alarme et me fit même grincer des dents. « T’es sure que tout va bien ? je suis désolé pour le sauvetage raté et la nuit dans … » Ma main dessinait l’horizon avant de reprendre « Bref ce truc sans nom qui va nous servir de logis »

J’attrapai son visage pour la forcer à me regarder un brin ennuyé par la situation. « Ecoutes, je ne suis pas l’homme le plus charmant de la région, je suis un con même à mes heures, ma cousine t’as pas menti sur ce fait, mais je te promets que je ne te forcerais pas à faire quoi que ce soit que tu ne désires pas, alors respires » J’armai mon visage d’un large sourire avant de me relever pour aller prendre la couverture argentée de survie qui trônait encore sur la table et revenir la pauser sur ses épaules. Mais cette fois c’est avec précaution que j’allai me placer à l’autre bout du lit et m’allonger. Fermant les yeux, attendant qu’elle accepte de bouger ou de parler ou quoi que ce soit.
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MessageSujet: Re: {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell } La nuit, tous les ivrognes sont gris... {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell  }   La nuit, tous les ivrognes sont gris... EmptyMar 17 Juil - 19:02

Alex Ҩ Tabatha
" La nuit, tous les ivrognes sont gris... "


Cette nuit, elle serait gravée à jamais dans ma mémoire. Elle fut forte en rebondissement, voir même un peu trop à mon goût, moi qui suit une fille tranquille … bon ce n’est pas vrais mais ce n’est pas mon quotidien d’échapper à des suceurs de sang acharné ni d’en tuer d’ailleurs. A vrais dire cette situation m’avais retourné et d’être enfin au calme, j’avais fermé mon clapet pour mettre au point mes idées dans ma tête ce qui n’est pas une tâche facile tout était tellement bousculer que je ne savais plus sur quel tiroir les ranger.
Je m’étais assises a un bord du lit grinçant à m’arracher un crissement de dent et un frisson tout le long de mon dos, grimaçante je recroqueville mes jambes tout contre mon corps et enfuis ma tête au creux de mes genoux. J’avais les larmes aux bords des yeux mais je ne voulais pas faire paraitre encore un peu plus de faiblesse déjà qu’il m’avait sauvé d’une mort assurer et si en plus je me mettais à pleurer il allait me prendre pour la des pleurnichardes
Je le regardais prendre un tas de fagots et le jeter dans l’âtre de la cheminer, le second feu de la soirée et cette foi il ne servira pas à brûler le corps de nos agresseur. Surement pour réchauffer un peu l’atmosphère de la vieille cabane de chasse et a vrais dire ce n’étais pas de refus, j’étais glacer jusqu’à l’os et si bien que si je n’avais pas d’encre à lèvre rouge on verrait très bien que celle-ci avaient optée pour une couleur bleutés tellement l’air de la nuit noir été frigorifiant. Je continuer a le regarder faire ses petites affaires tout en me replongeant dans mes souvenirs de la nuit me demandant ce qu’il aurait bien plus se passer si il n’avait pas été là, aurais-je réussis a m’en sortir seule ? Ou alors on aurait retrouvé mon corps inanimé lorsque les vampires m’auraient mis la main dessus ? Ou alors au contraire ce serait ils servaient de moi parce que je suis une sorcière ou je ne sais quoi ? C’est des questions qui rôdent en moi au quel je ne saurais pas répondre et que jamais je ne voudrais pouvoir y répondre. Je me redresse voyant Alex retirer une nouvelle foi sont tee-shirt, décidément en une nuit j’aurais eu tout le temps de l’admirer des moindre recoins de son torse. Détournant le regard cette fois ci comme gêné alors que les autres fois tout cela ne me déranger point je me gratte l’arrière de la tête en regardant le plafond de la bâtisse. Et puis mon regard dévia vers lui et je ne pus m’empêcher de le regarder au coin de la cheminé, jetant son haut à l’eau qu’il avait mis à bouillir. Je suis prise d’un sursaut lorsqu’il s’adressa a moi
    « Dis, dans tout ton super attirail tu n’aurais pas une sorte de savon, pas que je sois maniaque mais c’est mon cadeau de noël et Aria va me faire la peau si je le laisse ainsi. »
    « euh … non je pense pas que j’ai de quoi faire des lessives, ça c’est plus quand je pars en cours ou en shopping, je suis tellement une miss catastrophe que je me tache tout le temps … mais sinon j’ai du savon sans rinçage pour les mains ça peut servir tu crois ? »

Il prit place à mes côtes et le lit refit sont grincement du diable et mon dos fut pris du même frisson que plus tôt. Je lui jette un regard ainsi qu’un sourire avant de poser mon regard sur le feu qui lèche le bas de la marmite.
    « T’es sure que tout va bien ? je suis désolé pour le sauvetage raté et la nuit dans … Bref ce truc sans nom qui va nous servir de logis »
    « Oui oui ça va, ne t’en fais pas. J’ai juste un petit peu la tête ailleurs … ça va passer … j’espère. Et puis ne t’excuse pas de m’avoir sauvé, je devrais plutôt te remercier de l’avoir fait mais un simple merci ne suffirait pas à combler toute la reconnaissance que j’ai envers ton geste. »

Mon regard n’avait pas quitté le feu, mais mon visage été armé d’un sourire. C’était vrais, je lui été très reconnaissante de m’avoir sauvé de la bande de suceur de sang et je m’en voulais d’avoir agis un peu comme une suicidaire en me jetant entre les crocs de ses suceurs de sang. Il prit mon visage entre ses mains me forçant à le regarder, ce que je fis.
    « Ecoutes, je ne suis pas l’homme le plus charmant de la région, je suis un con même à mes heures, ma cousine t’as pas menti sur ce fait, mais je te promets que je ne te forcerais pas à faire quoi que ce soit que tu ne désires pas, alors respires »
    « Oh mais tu sais ça me dérange pas de te prêter mon sav… AAAH !! mais … rassure moi … non pas ça … euh … tu parles pas vraiment du lavage de ton tee-shirt la hein ? … oh merde je suis une idiote … pardon pardon … »

Mes joues avaient viré au rouge écarlate et ça même du blush ça n’allait pas le cacher … Il avait armé son visage d’un sourire tandis que le mien ressemblait plutôt à celui d’un constipé. Il se leva pour prendre la couverture de survie qui trônait sur une table plus loin et il me la plaça sur mes épaules. Et il me la déposa sur les épaules, je lui adresse un léger sourire. Et puis il alla s’allonger plus loin sur le lit, je ne savais plus quoi faire, je venais de me taper l’affiche et puis pour essayer de trouver une solution je sors mon savon d’une des doublures de ma robe et je lui tend.
    « euh … tiens … le savon au faite … et puis viens sous la couverture … avec moi … tu vas avoir froid … je vais te réchauffer … »

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MessageSujet: Re: {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell } La nuit, tous les ivrognes sont gris... {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell  }   La nuit, tous les ivrognes sont gris... EmptyMer 18 Juil - 0:06

« Oh mais tu sais ça me dérange pas de te prêter mon sav… AAAH !! Mais … rassure moi … non pas ça … euh … tu parles pas vraiment du lavage de ton tee-shirt là hein ? … oh merde je suis une idiote … pardon pardon … »

Sans répondre, je me relevai et allai récupérer la couverture tape à l’œil de survie. Tentant de reprendre mon sérieux. Visiblement tous mes doutes étaient fondés, elle était encore vierge et moi visiblement le premier crétin à passer la nuit dans le même lit qu’elle. Non mais sérieusement j’en avais fait du chemin, des chasses, des nuits blanches. Mais j’avoue que faire une nuit de sauvetage de ma propre proie était réellement une première. Enfin le résultat était plus que médiocre en somme. J’avais atterri sur un lit rouillé, mon ventre ouvert et bandé par une sorte de machin aux couleurs saumâtres et apparemment, j’allais passer la nuit la plus longue de ma vie, dans le lit d’une superbe créature vierge. Depuis quand n’avais-je pas dormis aux côtés d’une femme sans la toucher si ce n’est Aria ? Je me mis à chercher la dernière et fut forcé de constater que cela ne s’était jamais produit. En effet la première nuit fut longue mais avait aboutie au matin à mon propre dépucelage. Non mais franchement qu’est que je foutais là ? Ma main serra machinalement le montant en fer du lit comme un sorte de menotte m’empêchant de fuir ce trou à rat, me forçant peut-être même à me convaincre moi-même de ne pas me lever pour sortir et revenir au matin la chercher, après tout elle était à l’abris, aucun vampire ne pouvait entrer ici puisque cette saloperie de cabane appartenait à un paysan et sans son invitation pas de Tabatha au menu.

« euh … tiens … le savon au fait … et puis viens sous la couverture … avec moi … tu vas avoir froid … je vais te réchauffer … »

J’eus presque un soubresaut, rouvrant les yeux sur elle alors que près de mon nez se trouvait déjà une sorte de savon bizarre. « Décidément avait-elle un truc normal ?* Meuglais-je intérieurement. Non mais sérieusement, il n’y avait que moi pour me retrouver ici avec une nana pucelle de son âge. Qui de nos jours l’était encore à dix-neuf ans ? Jusqu'à cette nuit je pensais même pas cela réalisable. Surtout après avoir vu des nanas si laides que même un pou aurait eu peur et pourtant même elles ne l’étaient plus. Et voila qu’en plus elle me proposait de me réchauffer, elle allait faire cela comment ?

Sans attendre des images me montèrent à l’esprit, mais aucune ne me disait rien de bon. Que cela soit elle et moi sous le bout de toile doré, cul a cul ou elle et moi jouant à chifoumi près du feu, aucune des options ne me tentait vraiment. Même l’idée d’être le salaud de service qui lui volerait sa pureté me bloquait un brin.

Bon, c’est vrai que je pouvais me coller à elle, imaginer simplement qu’elle était Aria ça pourrait peut-être marcher. Puis après tout c’est elle qui m’a invité à venir non ? Donc dans le font je n’étais plus coupable de la suite, si suite il y avait.

J’attrapai le savon, me levai doucement pour éviter les hurlements du lit et allai le collé dans l’eau fumante avant de revenir vers le lit mais cette fois sans en faire le tour.

« je serai curieux de savoir comment tu comptes me réchauffer ? Mais par pitié pas de feu mag… » Je sursautai subitement, pausant ma main sur ses lèvres pour stopper toute réponse, alors que de l’autre je faisais signe de ne rien dire. Mon regard n’avait plus rien de joueur ou de charmeur. Le mouvement que je venais de sentir, le souffle d’air frais alors qu’au dehors la nuit claire venait de se retrouver plongée dans un brouillard à couper au couteau. « Ne bouge pas » murmurais-je sans dire un mot mais en articulant clairement pour qu’elle comprenne.

Cette fois pas de vampire, pas de loups à l’horizon, non et faut avouer que j’aurai mille fois préféré cela à ce qui se tramait. Etais-ce du à un coup du sort ou une simple poisse ? Je commençai à me questionner. Alors que mes yeux se plantèrent sur ma veste et toutes mes armes simplement pausées à quelques mètres, mais c’était déjà bien trop loin à mon gout. Doucement je la relâchai, la laissant se mouvoir. Alors que j’arquai un sourcil. Tout en regardant sa peau remplie de chair de poule. Et ses cheveux volants électrisants…
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MessageSujet: Re: {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell } La nuit, tous les ivrognes sont gris... {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell  }   La nuit, tous les ivrognes sont gris... EmptyMer 18 Juil - 1:01

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Je lui tendais mon savon devant le nez, la main légèrement tremblante et manquant à plusieurs reprises de lui faire tomber sur le coin du nez avec ma maladresse. Il avait déjà failli mourir à cause de moi, manqué plus que je lui casse le nez avec mon savon … et là j’aurais la grande classe de ma vie. Déjà que là je dois bien l’avoir … un homme comme lui avait surement déjà dû voir des femmes nues et surement plus d’une, que moi au contraire du haut de mes dix-neuf ans jamais je n’avais vus aucun homme plus déshabiller qu’en boxer et encore j’arrivais à me cacher les yeux. Alors passer la nuit avec un garçon ça non plus je ne l’avais jamais fait, bon avec mon père mais ça, ça ne compte pas vraiment non ? J’étais petite et c’était après la morte de ma mère.
Je continuais d’agiter frénétiquement le savon devant ses yeux lorsqu’ils les rouvrirent en le voyant sursauter légèrement, surement qu’il ne s’attendait pas à voir un savon devant son nez comme ça. A vrais dire quand même je suis un peu maboulle quand nana non ? Déjà pour commencer je suis toujours vierge et je n’ai jamais eu de relation amoureuse … bon j’ai été amoureuse mais ça n’a jamais été plus loin que ça. Je dois avoir une poisse de ce côté la non ? Et pis aussi je suis un vrais cas bizarre, il faut toujours me sauver je ne sais pas me mettre dans des situations convenable et pour finir le plus bizarre … c’est que je suis une vrais pharmacie, j’ai des fioles partout ! Et des savons, des bandages tout et n’importe quoi ! Ça va pour le moment jamais rien na franchie la barrière de ma culotte … que ça soit un homme ou une fiole.
Il attrapa mon savon et c’est tout en douceur qu’il se lève et pour une foi nous avions échappé au hurlement effroyable du lit digne d’un film d’horreur mais je dois avouer confortable mais grinçant un petit cercle vicieux quoi. Il déposa le savon dans l’eau qui devait déjà avoir fait bien bouillir le tee-shirt et je pense que grâce à celui-ci la tache de sang ne sera plus qu’un vilain souvenir et ça sera comme neuf. Le regardant retourner vers le lit, je lui adresse un sourire écartant la couverture de survie ainsi que mes bras pour l’y accueillir.
    « je serai curieux de savoir comment tu comptes me réchauffer ? Mais par pitié pas de feu mag… »

Il n’eut le temps de finir, qu’il sursauta et posa sa main sur mes lèvres et je ne pus à mon tour répondre. Je me demandais ce qu’il se passait, sont regard été différent et voilà que nous ou surtout moi avions du attiré des trucs bizarre qui allait encore nous couter la peau des fesses. Il me fessait signe de me taire, j’acquiesçais doucement du regard.
    « Ne bouge pas »

Je me raidis prête à ne plus bouger le moindre cil et il me relâcha doucement mais je restais dans la même position que les secondes précédente, je me demandais vraiment ce qu’il se passait, le froid me saisit et ma peaux vus parcourut de bouton de chair de poule et si bien que le froid fessait entre choquer mes dents malgré la couverture de survie qui pourtant m’avait bien réchauffer.
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MessageSujet: Re: {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell } La nuit, tous les ivrognes sont gris... {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell  }   La nuit, tous les ivrognes sont gris... EmptyMer 18 Juil - 22:09

Le silence régnait en maitre dans la petite cabane, seuls les crépitements du feu subsistaient, alors que le froid semblait plus profond à présent. Elle semblait captivée par mon regard alors que je cherchais l’invisible. Mon instinct en ébullition lui, me hurlait un drôle de signal d’alarme. Mais alors que j’allais localiser la source du problème, un grincement émergea du vieux lit pourrit où nous étions tous deux. J’arquai un sourcil alors qu’instantanément la température remonta en flèche au point que quelques gouttes de sueur perlèrent sur mes tempes.

Tout semblait revenu à la normale, mais seulement semblait. Quelque part dans la cabane se trouvait une saloperie de fantôme et il n’avait pas l’intention de nous laisser roucouler tranquillement.

« Boue ! » Clamais-je comme un gamin, « Pas question de la traumatisé encore plus.» Il fallait donc que je passe pour un con plutôt que lui dire qu’un esprit frappeur nous avait pas à la bonne. « Respire, j’ai eu une impression mais visiblement pas la bonne »

Je me relevai sans attendre les hurlements ou la baffe et allai vers la lignée de placards pour en sortir ce que j’espérais le plus, un peu de sel. Mais visiblement le dernier âne qui avait passé sa nuit ici, n’avait pas jugé bon de laisser quelques condiments.

Mais alors que je revenais vers le lit mon regard se stoppa sur la table où trônait fièrement une grosse boite de sel marin. « Voila qui nous aidera au besoin » Songeais-je tout en allant m’agenouiller face à Tabatha.

« Ecoutes, je suis vraiment désolé, je ne suis pas parfait et ma blague était de très mauvais gout, pardonne moi » Dis-je tout en pausant ma main sur son menton. « Alors tu voulais me réchauffer ? »

Sans attendre de réponse mes lèvres se pausèrent sur les siennes doucement, pour échanger un des baisers les plus chastes que j’avais surement jamais donné. Avant de me relever et contourner le lit, tout en récupérant discrètement le sel et de le déposer sur le sol près du lit où j’allai m’allonger.

« Si tu venais te coucher ? Tu as l’air à bout de nerfs, viens … » Je tapotai mon épaule pour lui indiquer de venir prendre place. « Promis, je ne ferai rien que tu ne me feras pas toi-même ai confiance » Murmurais-je doucement. Tout en continuant à guetter le moindre changement dans la cabane.
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MessageSujet: Re: {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell } La nuit, tous les ivrognes sont gris... {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell  }   La nuit, tous les ivrognes sont gris... EmptyJeu 19 Juil - 1:03

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La peur au ventre, c’était certains depuis qu’il avait déposé sa main sur ma bouche et me donner l’interdiction de parler. Autour de nous le froid avec pris encore un peu d’ampleur et me raidissais encore plus que je ne l’étais déjà. Et le silence … pas si réel que ça puisque le veux crépitant dans la cheminer me fessais sursauter à chaque craquement de fagot fessant grincer légèrement le lit et faire des grimace comme si tout cela allait arranger les choses. Et d’un coup la température remonte, avec étonnement j’eu même sur le coup trop chaud avant que mon corps s’y réhabitue. Nous revoilà revenue à la normal enfin ; cela devait surement être une variance de température à l’extérieure genre du brouillage frigorifiant ou je ne sais quoi.
    « Boue ! »
    « AAAAAAAAAAAH ! Purée tu me fou les miquettes ! »

Hurlais-je un plein poumon sans m’attendre à ce qu’il se prenne pour Casper ! Voilà qui perd la boule ? Pourquoi hurlait-il « bouh » comme ça ? Je pense qu’il a perdus trop de sang et ça lui monte à la ciboulette … je le regard avec un air idiot du genre « qu’es ce que tu fais ? Tu perds la tête ? Tu as mangé des champignons magiques ?
    « Respire, j’ai eu une impression mais visiblement pas la bonne »
    « AH oui ? Quel genre d’impression ? En tout cas moi j’étais en train de me demander si tu n’avais pas perdu trop de sang … »

Il se releva assez rapidement et ce dirigea vers des placards et quant à moi je pris un moment pour me relâcher un peu et surtout me calmer tellement mon cœur battait la chamade après la peur qu’il m’avait fait. Quand même ils me les avaient vraiment foutue les miquettes … mais qu’es ce qu’il avait été adorable avec son « boue » on aurait dit un enfant … ou doucement Tabi parce que ton cœur ne pas bat vite pour la peur la …
Je pris un regard gêné a mes pensées … je secoue la tête et mon regard ce repose de nouveau sur Alex qui revenait sur le lit en regardant ailleurs une foi à ma hauteur il s’agenouilla a moi. Mon regard se posa dans le sien et sur mon visage révélais un sourire assez discret.
    « Ecoutes, je suis vraiment désolé, je ne suis pas parfait et ma blague était de très mauvais gout, pardonne moi. Alors tu voulais me réchauffer ? »

Sans que je n’eus le temps de répondre quoi que soit, ses lèvres ce scellerai au miennes doucement, et tout mon corps s’embrassa … et il n’eut pas que ça d’ailleurs, le veux sous la marmite de la cheminé pris une énorme ampleur et illumina toute la pièce jusqu’à que notre baiser soit rompus. Il s’éloigna de moi tandis que j’étais rouge au visage. Je regardais le feu, visiblement je prenais peut être trop mon rôle à la lettre « alors tu voulais me réchauffer ? »Oh bah oui, grâce à tes lèvres j’ai bien ravivé le feu ! Il s’alonga sur le lit tandis que moi je restais de mon côtés sur le bord me demandant quoi faire.
    « Si tu venais te coucher ? Tu as l’air à bout de nerfs, viens … »

Ah bah voilà qui m’éclaircissais sur mes actions, doucement je me glissais contre lui et plaçant ma tête au creux de sa nuque. Je plaçais correctement la couverture de survie sur nos deux corps afin que la chaleur nous soit partagée. L’une de mes mains glissa sur son torse chaud, descendant machinalement vers son bas ventre, attend … Bas ventre ? OULA ON REMOOOOOOOOOOOOOONTE !
    « Promis, je ne ferai rien que tu ne me feras pas toi-même ai confiance »
    « j’ai confiance … »

Je dépose un léger baiser au creux de sa nuque.
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Il y a des moments dans la vie d’un homme où les situations sont si complexes qu’il se doit de rester le plus honnête possible. Bon c’est vrai que la petite sorcière à présent allongée contre mon épaule me donnait toutes les raisons du monde d’être un peu moins charmant et un peu plus charmeur. Mais je n’arrivais pas à me sortir cette idée d’être le premier. Non mais franchement, j’en avais eu des conquêtes, dans le lot il y avait forcément eu quelques ratés à ce niveau et je devais être le souvenir brisé de quelques femmes trop romantiques. Cependant aucune n’avait vraiment passé plus de trois heures en ma compagnie et de ce fait elles avaient tout bonnement mis les pieds dans le plat d’elles-mêmes. Inconscientes ou conscientes que la nuit ne serait pas plus qu’un bref plaisir sans lendemain.

Enfin toujours est-il que je n’avais pas autant d’infos sur elle que j’en avais sur la belle contre moi. Doucement je sentis sa main voyager de mon torse à mon bas ventre avant de se replacer plus sagement sur mes abdos et en partie sur le pansement. Une légère grimace me traversa quand le picotement de la pression se fit sentir. Mais alors que j’allai protester, tout en poussant sa main, la belle déposa un baiser chaste dans mon cou, m’invitait-elle à une sorte de câlin sage ? Ou me disait-elle tout simplement bonne nuit ?

Doucement mon bras remonta le long de son dos pour se stopper sur sa longue chevelure. J’inspirai profondément, cherchant les mots justes pour une fois, pas questions d’être froid ou mauvais comme ça avec tout le monde.

« Ecoute, je … »

Je me tournai doucement, la faisant glisser le long de mon bras de façon à planter mon regard dans le siens.

« Tu est magnifique, dans un autre temps ou en d’autres circonstances tu aurais surement été la petite amie dont j’aurai rêvé. » Je repoussai de ma main une de ses mèches pour avoir plus grandement le loisir de contempler tous ses petites mimiques insouciantes. « Mais je pense que nous ferions une bêtise, pas que j’en ai pas envie loin de là, seulement je suis persuadé que tu peux trouver bien mieux pour … » Je déposai un baiser sur son front doucement. « Dans deux heures le jour sera levé, tu devrais peut-être dormir » Doucement mon bras se plia pour la ramener contre moi. J’allais surement m’en mordre les doigts en toutes autres choses, même si sur le moment le choix semblait le plus raisonnable. Mais aussi étonnant que ce soit, je ne faisais pas encore partie de ceux qui abusent d’une femme apeurée en manque de réconfort. Un simple câlin et mes bras devraient suffire même si au font ma libido me hurlait « Saute la merde ! » Puis de toutes les façons pas question de jouer les exhibes devant un fantôme. Donc à moins qu’elle me saute dessus j’allai garder le contrôle de mon caleçon où il se trouvait, après tout c’est quoi deux heures ? C’est long mais pas interminable.

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MessageSujet: Re: {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell } La nuit, tous les ivrognes sont gris... {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell  }   La nuit, tous les ivrognes sont gris... EmptyJeu 19 Juil - 18:42

Alex Ҩ Tabatha
" La nuit, tous les ivrognes sont gris... "

Son bras doucement glissait le long de mon dos jusqu’à aller se placer dans mes longs cheveux d’ébène. Jusqu’à présent mes yeux c’était clos, je me sentais en sureté maintenant et je savais que je n’avais plus rien à craindre et que je pouvais baisser ma garde et me reposer un peu. Sa respiration fut profonde, tellement que j’ouvris mes yeux pour poser mon regard sur lui.
    « Ecoute, je … »

Des phrases coupés de la sortes j’en avais connus des centaines voire des milliers pour savoir à quoi je pouvais m’attendre. La couleur aller bientôt s’annoncer et ça n’allait pas être un arc-en-ciel tout mignon j’en suis sûr est certaine. Je suis une sorcière et pas un devin, mais des phrase comme ça une fille en a eu dans sa vie bien plus que j’aurais de pouvoir un jour et a force je savais prendre la suite ave sourire plutôt que dépit … enfin je crois. Nos regards ce croisèrent, le mien été fixe et sans émotion pour le moment, un fin sourire au bord de mes lèvres j’attendais avec calme la suite.
    « Tu es magnifique, dans un autre temps ou en d’autres circonstances tu aurais surement été la petite amie dont j’aurai rêvé. »

Sa main repoussa une de mes mèches qui jouais ça rebelle sur mon visage, le compliment qu’il y eu dans sa phrase me fit sourire au coin, j’avais d’habitude le droit à « t’es gentille mais étrange » ou « t’es vraiment trop bizarre » mais jamais je n’avais eu le droit à « tu es magnifique » et « petite amie » dans une même phrase. D’ailleurs là les deux mots étaient réunis mais ce n’était pas pour autant que c’était positif. Décidément, ce n’est pas vraiment ma bizarrerie qui pose un problème à présent …
    « Mais je pense que nous ferions une bêtise, pas que j’en ai pas envie loin de là, seulement je suis persuadé que tu peux trouver bien mieux pour … Dans deux heures le jour sera levé, tu devrais peut-être dormir »

Dormir ? Non je n’avais pas vraiment envie de dormir après cette nuit riche en mouvement et en émotion. Je préfère rester éveiller quitte à toupiner dans le lit grinçant ou à diverger dans mes pensées. Je me laisse mouvoir tout contre lui et repose ma tête doucement au creux de son épaule mon bras l’entourant avec délicatesse.
    « Tu dois surement me prendre pour une fille qui croit au compte de fée non ? Au prince charmant qui viendrait me réveiller d’un baiser et avec qui j’aurais une vie de merveille avec trois enfants, un chien et deux chats. Mais ça fait bien longtemps que j’y crois plus ça allait quand j’étais encore dans les pattes de mon père a joué à la poupée et encore je trouve que l’homme parfait type le prince est complètement dépasser par sa superficialité et a les chevilles trop enflé de sa perfection ; rien ne vaut une personne avec des défauts et des qualités. »

Mon bras se resserrais contre lui en évitant ça blessure pour ne pas lui faire encore plus mal que ce qui ne devais déjà avoir mal.
    « Tu dois aussi penser que je suis une fille fragile, coincée ou je ne sais pas quoi … c’est vrais que j’en donne l’apparence et mon « cas » n’arrange pas. Mais quand dans ta vie les relations amoureuse son inexistante au point que même un petit ami imaginaire j’en ai jamais eu, ça allait pas ce faire tout seul … Pas parce que j’attends le bon, la vie est faite d’erreur pourquoi pas celle-là un jour ?
    Mais quand les gens te regarde bizarre ou même te trouve bizarre parce que tu es solitaire depuis ta tendre enfance parce que tu as perdu ta mère très jeune et la vécus avec difficulté ou avec mon travail au B’WELL pour aider le morale de mon père qui ne s’en ai toujours pas remis et pis ça : la sorcellerie qui me tombe à bras raccourcie dessus, ça peut perturber tout un mental … et le mien est déjà bien catastrophe quand on me connait, je suis pas le genre de personne qu’on trouve lucide je suis plutôt la bizarrerie du monde donc des petit ami j’en ai jamais eu parce que je suis « étrange » j’étais le sujet idéale de moquerie au lycée qu’on ridiculisait dans les couloirs pour le plaisir de faire mal. Des béguins j’en ai eu et à chaque foi il se sont terminer par des « tes gentille mais surtout tes bizarre au revoir, n’essaie plus de me contacter »
    »

Mon cœur été serré au creux de ma poitrine et des larmes naissaient aux coins de mes yeux. Je libérais mon moi à Alex alors que d’habitude parler de moi je ne sais pas le faire ou alors à Katniss normal puisqu’elle est ma meilleure amie et que je l’adore par-dessus tout et qu’elle sait toujours quand je vais mal. Mais sinon je ne suis pas du genre a qu’on s’inquiète de moi, c’est plutôt moi qui suit au petit soin pour les autres, ça permet qu’au fond de moi, je cache ma détresse et à travers l’intérêt que je porte pour les autres, j’en montre un peu pour moi avec de la fierté.
    « Pardon … je devrais pas te raconter ça … »

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MessageSujet: Re: {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell } La nuit, tous les ivrognes sont gris... {Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell  }   La nuit, tous les ivrognes sont gris... EmptyMer 1 Aoû - 23:58

« Tu dois surement me prendre pour une fille qui croit au compte de fée non ? Au prince charmant qui viendrait me réveiller d’un baiser et avec qui j’aurais une vie de merveille avec trois enfants, un chien et deux chats. Mais ça fait bien longtemps que j’y crois plus ça allait quand j’étais encore dans les pattes de mon père a joué à la poupée et encore je trouve que l’homme parfait type le prince est complètement dépasser par sa superficialité et a les chevilles trop enflé de sa perfection ; rien ne vaut une personne avec des défauts et des qualités. »

Ok, ok arrêt sur image. Que je vous résume et surtout que je replace tout dans mon crane. Pour commencer j’avais mené une petite enquête sur l’entourage de ma cousine, bon c’est vrai c’est pas joli, joli mais je ne vais pas encore remonter le temps ? Si ? Non sérieux vous craignez là !

J’avais dix sept ans que je me suis retrouvé là avec mon billet d’avion et pour seul souvenir une valise dans laquelle trainait mal plié le peu de vêtements qui avaient trouvé place entre tous mes souvenirs et mes journaux. Bref je résume je suis arrivé là encore blessé du combat qui avait couté la vie de mon père, j’avais du mettre ma mère dans le coma pour contenir le démon qui avait prit place dans le corps de ma mère. Donc vous dire que j’étais peu enclin à rentrer dans une nouvelle vie, avec de nouveaux cours et de nouveaux mensonges dus au statut de ma famille. Bref j’étais donc vous l’aurez comprit pas d’humeur à supporter tout cela. Mon seul véritable réconfort fut que j’allais pouvoir passer du bon temps avec mon cousin et agacer ma merveilleuse cousine. Mais contre toute attente mon réconfort je le trouvais toutes les nuits quand la maison dormais, je montais en douce m’assoir sur le toit, je passais ainsi des heures à contempler le ciel étoilé quand les nuages ne se jouaient pas de ma patience. Bref une nuit ma cousine vint m’y retrouver munie d’une des plus immondes tasses de chocolat que je n’avais jamais bu. Elle me racontait sa vision du monde, sa vision d’enfant. Elle me fit même sourire en me rappelant que dans le rôle de grand frère, je pouvais apprendre à être un peu plus attentif à ce qu’elle aimait. C’est cette nuit là que je me jurai que rien ni personne ne changerait ce monde utopique où elle se baignait.

Donc voila, pour ces raisons j’avais mis à sac toutes ses relations, et dans la somme avais déniché la fille de Katherine et une de ses amies. Bon la petite Katniss je la connaissais je savait qu’elle n’était pas toujours catholique et surtout qu’elle se la jouait bien rebelle depuis la perte de sa mère. Mais Tabatha d’où elle sortait cela ? Donc dans cette optique j’avais tracé son compte puis trouvé les heures de boulot, les horaires de chaque chose qui composait sa petite vie et me voila. Le nez dans un banquet vampirique où ma sorcière bien aimée jouait avec son ours en peluche, criant bouffez moi.

Bon la suite vous la connaissez !


« Tu dois aussi penser que je suis une fille fragile, coincée ou je ne sais pas quoi … c’est vrai que j’en donne l’apparence et mon « cas » n’arrange pas. Mais quand dans ta vie les relations amoureuse son inexistante au point que même un petit ami imaginaire j’en ai jamais eu, ça allait pas ce faire tout seul … Pas parce que j’attends le bon, la vie est faite d’erreur pourquoi pas celle-là un jour ?
Mais quand les gens te regarde bizarre ou même te trouve bizarre parce que tu es solitaire depuis ta tendre enfance parce que tu as perdu ta mère très jeune et la vécus avec difficulté ou avec mon travail au B’WELL pour aider le morale de mon père qui ne s’en ai toujours pas remis et pis ça : la sorcellerie qui me tombe à bras raccourcie dessus, ça peut perturber tout un mental … et le mien est déjà bien catastrophe quand on me connait, je suis pas le genre de personne qu’on trouve lucide je suis plutôt la bizarrerie du monde donc des petit ami j’en ai jamais eu parce que je suis « étrange » j’étais le sujet idéale de moquerie au lycée qu’on ridiculisait dans les couloirs pour le plaisir de faire mal. Des béguins j’en ai eu et à chaque foi ils se sont terminé par des « tes gentille mais surtout tes bizarre au revoir, n’essaie plus de me contacter » »


Voila, je l’invite à venir dormir contre moi, je ferme les yeux un instant, en attendant que le fantôme veuille bien soit prendre le tour de garde soit se pointer pour que je l’allume. Non mais on arrête les yeux ronds, ok elle est canon, mais faut à un moment se mettre dans mon caleçon, un je suis à la base là pour la questionner, la tuer ou la torturer, au final je la sauve, je l’embrasse, je joue les amants et visiblement les confidents sur l’oreiller, tout ça pour lui sauver les fesses. Je me blesse et je me retrouve dans une cabane miteuse le bide en vrac et en plus je détecte que la belle n’a jamais était chevauchée par aucun mec pré-pubère de son âge. A dix-neuf ans j’avais perdu cette bride depuis près de six ans. Rêvez pas je reste poli et ne nommerai aucune dame ! Bref allez coucher avec une belle pucelle alors que vous avez mal au bide et vous viendrez me voir avec des yeux en trou de pine. Bref en homme galant. Elle était là, la tête contre mon torse, alors que ma main caressait sagement ses longs cheveux. Tentant de calmer le flot de confiance un brin dérangeante quand on y songe.
Bon là j’ai une question, à quel moment je lui ai laissé entendre que je serai le sauveur au point d’être celui qui validerait son entrée dans le monde des femmes ?

Bon un peu de sérieux à présent je réponds quoi ? Chut dodo, ou je comprends, tu as été la laissée pour compte et tu penses que je vais te donner ce que les autres t’ont pas même tendu…

« Pardon … je devrais pas te raconter ça … »

Ok, là je suis qu’un mec, alors je vais me faire ce qui me semble le plus simple. Je me tournai donc doucement, armai mon visage du plus charmeur des sourires. Plantai mon regard dans le siens et tournai ma langue sept fois dans ma bouche pour surtout pas sortir de connerie.

« C’est très instructif, respire beauté, je ne vais pas te juger car côté relationnel tu es plus nulle que moi. » J’attrapai son menton pour planter mes yeux dans les siens. « On tachera d’arranger ça promis, mais je ne serai pas ton erreur, désolé, je suis bien des choses, mais pas un connard qui profite des filles apeurées, donc si tu as besoin de me parler je suis tout ouïe après tout je suis là pour en savoir plus sur toi »
Super ! Voila la plus nulle des réponses que je pouvais servir, mais bon j’allais au moins m’éviter une mise à mort d’Aria en apprenant que j’avais abusé d’une de ses amies.
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{Alex K. Powell & Tabatha m. Blackwell } La nuit, tous les ivrognes sont gris...

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