« Papa, tu n'aurais pas vu ma veste par hasard ?! » Dis-je en haut de l'escalier, mais mon père ne me répondais pas. Je descendis les marches quatre par quatre et pris la direction du salon. Quand je suis arrivé devant le canapé, mon père commençait à ronfler. J'éteignais la Télé qui restait allumer et dis dans un soupir. « C’est pas vraie, je parle à un mur en plus. C'est pas grave, je vais me débrouiller seul, comme d'habitude.» Pendant les cinq minutes qui suivaient, je parcourais toute la maison à la recherche de ma veste blanche. Aujourd'hui, c'est la St-Valentin et le thème de la soirée n'est autre que "L'amour en rouge et blanc". J'avais décidé de m'habiller tout en blanc avec quelque touche de couleur. Sous-vêtement rouge, chaussette rouge, cravate rouge et une rose rouge dans la poche gauche de ma veste. Quand j'ai retrouvé cette dernière que je mis aussitôt, je pris les clefs de ma Jeep, un bouquet de rose rouge et sortis de la maison. Depuis la mort de ma mère, mon père ne célèbre plus la St-Valentin. Je le pousse à faire la fête, mais il reste devant la télé. Je ne veux que son bonheur alors si un jour il retrouve une autre femme, je comprendrais parfaitement.

En arrivant devant la maison où se habitait ma cavaliere pour la soirée, je sortis avec le bouquet à la main. En arrivant sur le Porche, je me recoiffais avant de frapper. La porte s'ouvrit alors je me présentais à la personne. Ca devait être le père de Tabatha. « Bonsoir Monsieur, je suis Nathanaël Riley Wakefield et je viens chercher Tabatha. Est-elle prete ?!»

« Bonsoir Monsieur, je suis Nathanaël Riley Wakefield et je viens chercher Tabatha. Est-elle prete ?!» J'attendais ma cavalière pour la soirée spécial saint valentin. Les années précédentes, je n'avais pas pris le temps d'aller à ces soirées. D'un part, parce que je n'étais pas d'humeur à faire la fête, mais aussi parce que cote amour, c'était le désert. J'ai bien eu quelque relation amoureuse, comme avec Brooklyn, mais ça n'a pas continué. On sentait bien qu'entre nous s'était plus de l'amitié que de l'amour. J'attendais donc ma cavalière en compagnie de son père. J'entendis des pas arrivés vers nous. Monsieur Blackwell ouvrit assez la porte pour que je la voie descendre les escaliers. Tabatha était magnifique. Tellement que ma mâchoire inférieur tomba. Je vis le regard de son père qui insistait alors je me repris.
« Bonsoir Nath' ! Tes ravisant ce soir, le blanc et le rouge te vont bien ... » Je ne pus m'empêcher de lui sourire. Cette robe moulante d'un rouge vif, ses petite bâlerine et se visage qui en attirerait plus d'un. « Tabatha... Tu es ravissante ! Puis-je ?» demandais-je en tendent la main. Ses cheveux donnait à son teint... Je n'en trouve pas les mots. Elle me donna sa main. Nous dimes en revoir à ses parents avant de monter dans ma bées. Tel un gentlemen, je lui ouvris la porte pour qu'elle monte et j'attendis qu'elle s'installe pour la refermer. Puis je fis le tour pour la rejoindre à l'intérieur. « Prête à mettre le feu suce soir ?!» dis en rigolant. Je démarrais la voiture et enclencha la premier. Maintenant direction le bal.